Il était une fois, une infirmière anesthésiste...
Le métier d’infirmière anesthésiste est assez méconnu ; dans la plupart des cas, notre spécialité œuvre au sein des blocs opératoires, au côté des médecins anesthésistes. Notre rôle consiste à gérer les patients sous anesthésie, générale ou locale, et l’une de nos grandes préoccupations reste la prise en charge de la douleur, sous toutes ses formes.
En effet, le bloc opératoire génère beaucoup d’interrogations, d’anxiétés et de douleurs. Ce milieu si fermé où nombre de personnes, tant patients que personnel hospitalier, se demandent ce qu’il se passe lorsque les portes se referment. La douleur y est donc rattachée, qu’elle soit psychique ou physique. Selon l’histoire personnelle de chaque patient, la douleur peut être le mélange du souvenir d’une douleur passée couplée avec une sensation actuelle, voire l’anticipation d’une douleur future, surtout en situation d’urgence. En tant qu’infirmière anesthésiste, mon rôle est aussi d’accompagner les patients, depuis le sas d’entrée jusqu’à la salle d’opération, puis après en salle de réveil, dans leur cheminement personnel.
Je suis infirmière anesthésiste en pédiatrie. Mon rôle est donc un peu plus complexe que cela. Il s’agit d’adapter chaque prise en charge selon l’âge de nos petits patients, âgés de quelques heures à quelques années, tout en incluant un élément majeur : les parents. En effet, dans notre bloc les parents peuvent accompagner leurs enfants jusque dans le sas d’entrée et les retrouver dès leur réveil. Mais vient indubitablement le moment de la séparation, tant redouté. Ensuite, les pleurs et l’anxiété en salle d’opération, seul loin des parents, avec la peur de s’endormir et parfois de ne pas se réveiller. Il y a aussi la douleur, suite au traumatisme, ou encore celle de la pose de la perfusion, lorsque l’on n’a pas le choix. Bref, autant de situations qui m’ont mis à mal, moi la jeune infirmière anesthésiste.
Puis un jour, la surprise ; j’étais en salle avec un enfant de 8 ans qu’il me fallait perfuser avant son anesthésie, quand j’ai pu voir mon premier gant magique. Je me rappelle parfaitement ce jour où j’ai pris la mesure de l’efficacité des techniques d’hypno-analgésie. Sans penser encore quel intérêt cela allait m’apporter, j’y ai avant tout vu une ouverture, une solution à ma relative impuissance de voir ces enfants passer en pleurant, sans trouver le moyen efficace de les apaiser. C’est ainsi que je suis entrée en hypnose comme on entre en religion ; d’abord par la petite porte grâce à une formation aux techniques d’hypnoanalgésie en pédiatrie, puis quelques années après en confirmant mon engagement avec la formation en hypnose. Je suis aujourd’hui prête à prêcher la bonne parole. Ces formations ont donc bouleversé ma pratique ; à vrai dire, elles ont bouleversé ma vie. Comme disais Marie-Elisabeth Faymonville : « C’est le propre de l’hypnose que de ne pas laisser indemne celui qui s’y risque... » J’ai commencé petit à petit à proposer des inductions hypnotiques avant l’induction chimique, pour aider petits et grands à s’évader de ce lieu quelque peu « inhospitalier ». Mais le bloc reste le bloc. Le choix du terme renvoie indubitablement à quelque chose de figé, lourd à mobiliser, avec des contraintes de temps et d’espace.
Tout d’abord, il a fallu identifier nos lacunes et travailler sur l’amélioration de nos pratiques. Nous avions la chance d’être déjà inscrits dans une démarche d’hypnoanalgésie avec la création d’un groupe de travail pluridisciplinaire. Il nous a d’emblée paru essentiel que chaque corps de métier soit représenté afin qu’il dispense ensuite les grands axes de réflexion. Nous nous sommes donc remis au travail et penchés sur les études. Cela fait plus de dix ans que les Américains ont démontré le lien entre anxiété préopératoire et douleur ; en effet, il est désormais prouvé qu’une majoration de l’anxiété préopératoire entraîne des scores de douleur plus élevés en postopératoire, une augmentation des consommations d’antalgiques ainsi qu’un risque accru de troubles du comportement en postopératoire. Ainsi une expérience négative d’hospitalisation entraînerait un risque accru de majoration de l’anxiété lors d’hospitalisations futures. De manière exacerbée par rapport à l’adulte, l’enfant arrivant au bloc opératoire est déjà en transe négative. Notre travail consiste donc à l’amener à une transe positive.
Nous avons donc misé sur l’amélioration de la qualité de l’accueil au bloc opératoire, véritable mise en condition hypnotique ; il nous a fallu tenir compte de contraintes telles que l’espace restreint et un temps d’accueil limité ; en effet, nous ne disposons que de très peu de temps pour créer une alliance thérapeutique forte avec l’enfant ainsi que les parents. D’où l’intérêt d’être utilisationniste et adaptable durant ces cinq minutes environ. Pendant cet intervalle, nous avons fait le choix de ne pas utiliser le terme « d’hypnose » à proprement parlé, mais plutôt de techniques d’hypnoanalgésie par le biais d’une affiche explicative. Une raison simple à cela étant la confusion actuelle entre hypnose thérapeutique et hypnose spectacle ; le manque de temps nous empêchant de clarifier les différences significatives entre les deux applications.
Dans un premier temps, nous nous sommes penchés sur la présentation du personnel ; le bloc opératoire a cette spécificité de lieu où l’identification est très difficile, chacun ayant la même tenue, sans distinction de fonction. Nous nous sommes renommés avec un langage métaphorique fait de noms imagés, associés à de belles photos ; les médecins anesthésistes sont les marchands de sable, les infirmiers de bloc sont les mains magiques ; nous, les infirmiers anesthésistes, sommes souffleurs de rêves... L’idée était aussi de créer une possibilité d’évasion : « Que voudrais-tu faire pendant cette douce parenthèse... Voler avec ta cape magique, comme Thomas notre chirurgien ?... Faire une partie de foot avec ton joueur préféré ?...Tout est possible... je peux t’aider, t’accompagner jusqu’à ce que l’on retrouve papa ou maman... »
Puis nous avons décidé qu’il était temps de montrer aux « profanes » l’envers du décor, grâce au concours bénévole d’un couple de parents, professionnels de l’image, touchés par notre travail et avec lesquels nous avons réalisé un film sur la venue au bloc opératoire. Le but était de créer une entrée virtuelle des parents dans notre service mais aussi de familiariser nos jeunes patients avec l’univers du bloc par le biais d’une peluche « Minion ». La peluche permet aux enfants une identification tout en maintenant une certaine distance. L’anxiété s’en voit donc diminuée.
Dans un deuxième temps, l’espace dédié à l’accueil, nommé sas du bloc (sans doute référence inconsciente à un sas de mise en pression ou décompression), déjà rendu plus chaleureux grâce à la création d’une fresque des héros, s’est vu enrichi d’un coin jeu et d’ateliers de customisation des masques d’anesthésie. A noter que grâce à une étude sur l’intérêt de la prémédication médicamenteuse versus la distraction par tablette menée dans notre service, le recours à la prémédication médicamenteuse est devenu très rare (11 %). La majorité des enfants arrivent donc en salle d’opération dans les bras, à pied ou en trotteur, surfant sur la vague du jeu et les rendant ainsi acteurs de leur prise en charge.
Pour les autres, reste le choix illusoire « tu préfères passer sur le lit d’opération tout seul ou c’est papa/maman qui te porte ? ».
Parallèlement, chaque enfant a désormais la possibilité de jouer avec son masque, de le décorer avec gommettes et feutres odorants afin de se l’approprier. L’intérêt consiste à référer à un de nos deux sens primaire, l’odorat, point de départ d’une focalisation avant l’anesthésie générale majoritairement induite par le biais d’un masque ainsi qu’à un produit malodorant. Chacun a aussi le choix d’être acteur lors de l’endormissement : « veux-tu tenir le masque ou est-ce moi qui le fait ? ». Pour les 2 à 6 ans, il nous suffira ensuite de proposer un jeu d’odeur après une saturation des récepteurs au moyen d’un mélange d’oxygène et de protoxyde d’azote5 : « Veux-tu faire un jeu ? Quelle odeur as-tu choisie dans ton masque ?... Je vais rajouter de la chantilly sur tes fraises ?... » Et pour les quelques réactions de dégoût qui pointent le bout de leur nez, nous pouvons toujours ajouter : « mince, je me suis trompée... c’est peut-être brocolis... », pour permettre au produit d’agir.
Pour les nourrissons et jeunes enfants de moins de 2 ans...
Pour la suite de l'article de ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves, cliquez ici
Le métier d’infirmière anesthésiste est assez méconnu ; dans la plupart des cas, notre spécialité œuvre au sein des blocs opératoires, au côté des médecins anesthésistes. Notre rôle consiste à gérer les patients sous anesthésie, générale ou locale, et l’une de nos grandes préoccupations reste la prise en charge de la douleur, sous toutes ses formes.
En effet, le bloc opératoire génère beaucoup d’interrogations, d’anxiétés et de douleurs. Ce milieu si fermé où nombre de personnes, tant patients que personnel hospitalier, se demandent ce qu’il se passe lorsque les portes se referment. La douleur y est donc rattachée, qu’elle soit psychique ou physique. Selon l’histoire personnelle de chaque patient, la douleur peut être le mélange du souvenir d’une douleur passée couplée avec une sensation actuelle, voire l’anticipation d’une douleur future, surtout en situation d’urgence. En tant qu’infirmière anesthésiste, mon rôle est aussi d’accompagner les patients, depuis le sas d’entrée jusqu’à la salle d’opération, puis après en salle de réveil, dans leur cheminement personnel.
Je suis infirmière anesthésiste en pédiatrie. Mon rôle est donc un peu plus complexe que cela. Il s’agit d’adapter chaque prise en charge selon l’âge de nos petits patients, âgés de quelques heures à quelques années, tout en incluant un élément majeur : les parents. En effet, dans notre bloc les parents peuvent accompagner leurs enfants jusque dans le sas d’entrée et les retrouver dès leur réveil. Mais vient indubitablement le moment de la séparation, tant redouté. Ensuite, les pleurs et l’anxiété en salle d’opération, seul loin des parents, avec la peur de s’endormir et parfois de ne pas se réveiller. Il y a aussi la douleur, suite au traumatisme, ou encore celle de la pose de la perfusion, lorsque l’on n’a pas le choix. Bref, autant de situations qui m’ont mis à mal, moi la jeune infirmière anesthésiste.
Puis un jour, la surprise ; j’étais en salle avec un enfant de 8 ans qu’il me fallait perfuser avant son anesthésie, quand j’ai pu voir mon premier gant magique. Je me rappelle parfaitement ce jour où j’ai pris la mesure de l’efficacité des techniques d’hypno-analgésie. Sans penser encore quel intérêt cela allait m’apporter, j’y ai avant tout vu une ouverture, une solution à ma relative impuissance de voir ces enfants passer en pleurant, sans trouver le moyen efficace de les apaiser. C’est ainsi que je suis entrée en hypnose comme on entre en religion ; d’abord par la petite porte grâce à une formation aux techniques d’hypnoanalgésie en pédiatrie, puis quelques années après en confirmant mon engagement avec la formation en hypnose. Je suis aujourd’hui prête à prêcher la bonne parole. Ces formations ont donc bouleversé ma pratique ; à vrai dire, elles ont bouleversé ma vie. Comme disais Marie-Elisabeth Faymonville : « C’est le propre de l’hypnose que de ne pas laisser indemne celui qui s’y risque... » J’ai commencé petit à petit à proposer des inductions hypnotiques avant l’induction chimique, pour aider petits et grands à s’évader de ce lieu quelque peu « inhospitalier ». Mais le bloc reste le bloc. Le choix du terme renvoie indubitablement à quelque chose de figé, lourd à mobiliser, avec des contraintes de temps et d’espace.
Tout d’abord, il a fallu identifier nos lacunes et travailler sur l’amélioration de nos pratiques. Nous avions la chance d’être déjà inscrits dans une démarche d’hypnoanalgésie avec la création d’un groupe de travail pluridisciplinaire. Il nous a d’emblée paru essentiel que chaque corps de métier soit représenté afin qu’il dispense ensuite les grands axes de réflexion. Nous nous sommes donc remis au travail et penchés sur les études. Cela fait plus de dix ans que les Américains ont démontré le lien entre anxiété préopératoire et douleur ; en effet, il est désormais prouvé qu’une majoration de l’anxiété préopératoire entraîne des scores de douleur plus élevés en postopératoire, une augmentation des consommations d’antalgiques ainsi qu’un risque accru de troubles du comportement en postopératoire. Ainsi une expérience négative d’hospitalisation entraînerait un risque accru de majoration de l’anxiété lors d’hospitalisations futures. De manière exacerbée par rapport à l’adulte, l’enfant arrivant au bloc opératoire est déjà en transe négative. Notre travail consiste donc à l’amener à une transe positive.
Nous avons donc misé sur l’amélioration de la qualité de l’accueil au bloc opératoire, véritable mise en condition hypnotique ; il nous a fallu tenir compte de contraintes telles que l’espace restreint et un temps d’accueil limité ; en effet, nous ne disposons que de très peu de temps pour créer une alliance thérapeutique forte avec l’enfant ainsi que les parents. D’où l’intérêt d’être utilisationniste et adaptable durant ces cinq minutes environ. Pendant cet intervalle, nous avons fait le choix de ne pas utiliser le terme « d’hypnose » à proprement parlé, mais plutôt de techniques d’hypnoanalgésie par le biais d’une affiche explicative. Une raison simple à cela étant la confusion actuelle entre hypnose thérapeutique et hypnose spectacle ; le manque de temps nous empêchant de clarifier les différences significatives entre les deux applications.
Dans un premier temps, nous nous sommes penchés sur la présentation du personnel ; le bloc opératoire a cette spécificité de lieu où l’identification est très difficile, chacun ayant la même tenue, sans distinction de fonction. Nous nous sommes renommés avec un langage métaphorique fait de noms imagés, associés à de belles photos ; les médecins anesthésistes sont les marchands de sable, les infirmiers de bloc sont les mains magiques ; nous, les infirmiers anesthésistes, sommes souffleurs de rêves... L’idée était aussi de créer une possibilité d’évasion : « Que voudrais-tu faire pendant cette douce parenthèse... Voler avec ta cape magique, comme Thomas notre chirurgien ?... Faire une partie de foot avec ton joueur préféré ?...Tout est possible... je peux t’aider, t’accompagner jusqu’à ce que l’on retrouve papa ou maman... »
Puis nous avons décidé qu’il était temps de montrer aux « profanes » l’envers du décor, grâce au concours bénévole d’un couple de parents, professionnels de l’image, touchés par notre travail et avec lesquels nous avons réalisé un film sur la venue au bloc opératoire. Le but était de créer une entrée virtuelle des parents dans notre service mais aussi de familiariser nos jeunes patients avec l’univers du bloc par le biais d’une peluche « Minion ». La peluche permet aux enfants une identification tout en maintenant une certaine distance. L’anxiété s’en voit donc diminuée.
Dans un deuxième temps, l’espace dédié à l’accueil, nommé sas du bloc (sans doute référence inconsciente à un sas de mise en pression ou décompression), déjà rendu plus chaleureux grâce à la création d’une fresque des héros, s’est vu enrichi d’un coin jeu et d’ateliers de customisation des masques d’anesthésie. A noter que grâce à une étude sur l’intérêt de la prémédication médicamenteuse versus la distraction par tablette menée dans notre service, le recours à la prémédication médicamenteuse est devenu très rare (11 %). La majorité des enfants arrivent donc en salle d’opération dans les bras, à pied ou en trotteur, surfant sur la vague du jeu et les rendant ainsi acteurs de leur prise en charge.
Pour les autres, reste le choix illusoire « tu préfères passer sur le lit d’opération tout seul ou c’est papa/maman qui te porte ? ».
Parallèlement, chaque enfant a désormais la possibilité de jouer avec son masque, de le décorer avec gommettes et feutres odorants afin de se l’approprier. L’intérêt consiste à référer à un de nos deux sens primaire, l’odorat, point de départ d’une focalisation avant l’anesthésie générale majoritairement induite par le biais d’un masque ainsi qu’à un produit malodorant. Chacun a aussi le choix d’être acteur lors de l’endormissement : « veux-tu tenir le masque ou est-ce moi qui le fait ? ». Pour les 2 à 6 ans, il nous suffira ensuite de proposer un jeu d’odeur après une saturation des récepteurs au moyen d’un mélange d’oxygène et de protoxyde d’azote5 : « Veux-tu faire un jeu ? Quelle odeur as-tu choisie dans ton masque ?... Je vais rajouter de la chantilly sur tes fraises ?... » Et pour les quelques réactions de dégoût qui pointent le bout de leur nez, nous pouvons toujours ajouter : « mince, je me suis trompée... c’est peut-être brocolis... », pour permettre au produit d’agir.
Pour les nourrissons et jeunes enfants de moins de 2 ans...
Pour la suite de l'article de ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves, cliquez ici
MAGALI MARCHAL
Infirmière anesthésiste depuis 2009 au bloc opératoire de pédiatrie, hôpital Femme-Mère- Enfant, Hospices civils de Lyon. Formée aux techniques d’hypno-analgésie en pédiatrie par l’IFH en 2012, puis à l’hypnose ericksonienne à l’IMELyon en 2014.
Infirmière anesthésiste depuis 2009 au bloc opératoire de pédiatrie, hôpital Femme-Mère- Enfant, Hospices civils de Lyon. Formée aux techniques d’hypno-analgésie en pédiatrie par l’IFH en 2012, puis à l’hypnose ericksonienne à l’IMELyon en 2014.
Commandez ce numéro Hors-Série n°12 de la Revue Hypnose et Thérapies Brèves: «La Douleur»
Lorsque la Version papier de ce numéro sera épuisée, la version PDF sera fournie à la place
- Éditorial : De la douleur à la douceur ? M. Arnaud
- Fibromyalgie. A. Vallée
- Douleurs traumatiques. G. Chaboud
- Hypnose et recherche. A. Vanhaudenhuyse et M.-E. Faymonville
- Rééducation et hypnose. V. Monfort
- La présence. M. Galy
- Blessures de tennis. V. Dasle
- La douleur chronique. B. Dubos
- Mon banal de la douleur. A. Bioy
- Communication thérapeutique. E. Boselli
- Éditorial : P. Houssel
- Césarienne naturelle. F. Bernard
- Gant analgésique. X. Paqueron
- L’hypnose périopératoire. F. Roelants et C. Watremez
- Soins dentaires chez l’enfant. C. Martin
- Curiethérapie. E. Rigal
- Hypnose et anesthésie. F. Hamon
- Une conteuse au bloc opératoire. A. Khaled
- Aux Urgences. N. Guler et S. Weber
- Pédiatrie, dans un bloc opératoire. M. Marchal
Pour acheter ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves à l’unité, ou vous abonner, cliquez ici
- Éditorial : De la douleur à la douceur ? M. Arnaud
- Fibromyalgie. A. Vallée
- Douleurs traumatiques. G. Chaboud
- Hypnose et recherche. A. Vanhaudenhuyse et M.-E. Faymonville
- Rééducation et hypnose. V. Monfort
- La présence. M. Galy
- Blessures de tennis. V. Dasle
- La douleur chronique. B. Dubos
- Mon banal de la douleur. A. Bioy
- Communication thérapeutique. E. Boselli
- Éditorial : P. Houssel
- Césarienne naturelle. F. Bernard
- Gant analgésique. X. Paqueron
- L’hypnose périopératoire. F. Roelants et C. Watremez
- Soins dentaires chez l’enfant. C. Martin
- Curiethérapie. E. Rigal
- Hypnose et anesthésie. F. Hamon
- Une conteuse au bloc opératoire. A. Khaled
- Aux Urgences. N. Guler et S. Weber
- Pédiatrie, dans un bloc opératoire. M. Marchal
Pour acheter ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves à l’unité, ou vous abonner, cliquez ici