Un certain nombre de troubles périphériques à la cavité buccale deviennent ainsi accessibles au praticien dûment formé. Dans ma pratique quotidienne, il n’est pas rare de rencontrer deux types de patients, concernés par les problèmes spécifiques liés aux addictions aux produits psychoactifs.
Les premiers me consultent d’emblée pour une prise en charge de leur addiction. Ils ont déjà été informés par leur praticien traitant (médecin, parodontologue ou implantologue) du risque que leur consommation leur fait courir dans le cadre d’un traitement nécessaire. Suite à un entretien, je détermine leur implication et ma capacité à les aider, avant de proposer un protocole, que nous illustrerons plus loin, dans le cas du sevrage tabagique.
Les seconds viennent à la base pour des soins dentaires, l’anamnèse et l’examen clinique mettent à jour des lésions en lien avec leur conduite addictive. A ce moment-là, mon rôle est avant tout de les informer sur l’étiologie de leurs atteintes bucco-dentaires et de leurs répercussions sur le long terme. D’informer aussi sur les solutions possibles pour faire, s’ils le souhaitent, d’une pierre deux coups, en traitant la cause plutôt que les seuls effets. Je peux leur proposer alors mon protocole.
Passée la surprise que cette proposition peut susciter de la part d’un dentiste, et en cas d’acceptation, on se retrouve dans la même situation que précédemment. Si le cas nécessite une prise en charge plus poussée ou que les patients préfèrent se référer à un autre spécialiste, je les oriente alors vers des hypnothérapeutes de ville ou les services d’addictologie à l’hôpital.
Dépistage des conséquences bucco-dentaires La bouche est l’objet d’un important investissement psychologique et symbolique. Elle comporte une imbrication étroite des systèmes sensitifs, moteurs, nociceptifs, proprioceptifs, sympathiques et parasympathiques.
La santé bucco-dentaire, par toutes les fonctions auxquelles elle contribue (mastication, respiration, phonation, gustation, esthétique, sexualité) est un facteur essentiel de la santé générale, du bien-être et de la vie sociale. Comme on peut s’en douter, l’usage répété de substances chimiques addictives, en passant par le carrefour bucco-dentaire, peut entraîner des pathologies locales plus ou moins graves. Il peut être utile ici de rappeler les risques encourus par les usagers de produits psychoactifs à ce niveau :
- xérostomie (sécheresse buccale), pouvant entraîner une glossodynie (douleur de la langue) ou une stomatodynie (douleur affectant l’ensemble de la bouche), une surinfection mycosique (candida albicans) ;
- halitose, cacostomie (mauvaise haleine de cause générale ou locale) ;
- atteintes des tissus durs, les atteintes des faces vestibulaires et des collets dentaires sont spécifiques du patient toxicomane, selon une description faite par Lowenthal ;
- troubles fonctionnels et physiologiques, troubles occlusaux comprenant des Dysfonctionnements Temporo-Mandibulaires (DTM), des douleurs cervico-faciales ou un bruxisme.
La fumée entraîne des retards de cicatrisation après des actes chirurgicaux, des alvéolites ;
- atteintes parodontales, les patients usagers de drogues présentent fréquemment une gingivite ulcéro-nécrotique aiguë. Le fait de fumer multiplierait le risque d’atteinte parodontale par un facteur compris entre 2 et 4 ;
- atteintes des muqueuses buccales, des leucokératoses, des leucoplasies, des poussées bulleuses comme les aphtes et l’herpès, le lichen plan. La cocaïne peut susciter des lésions de la muqueuse nasale (irritation, ulcération, perforation). Ces produits peuvent déclencher diverses lésions bénignes, précancéreuses, ou cancéreuses de la langue ou des muqueuses ;
- atteintes esthétiques et générales, les pathologies bucco-dentaires entraînent fréquemment des difficultés de mastication, d’élocution ainsi qu’une détérioration de l’apparence physique qui nuit à l’estime de soi et peut avoir des conséquences défavorables sur la vie sociale, pouvant accentuer les troubles psychiatriques et anxio-dépressifs.
La pertinence de l’utilisation de l’hypnose pour les addictions
L’hypnose permet au patient de se réapproprier la demande de soins pour ainsi adhérer pleinement à la thérapeutique proposée. Par ailleurs, il est intéressant de noter les similitudes qui existent entre le comportement addictif et l’expérience hypnotique.
Au niveau du processus, l’addiction prend la forme d’une autohypnose négative, mise en évidence par une sorte de comportement de transe pendant les crises, avec des éléments d’autosuggestion, d’hyperfocalisation, des épisodes de dissociation où le patient a le sentiment d’une perte de contrôle, d’une distanciation vis-à-vis de son corps ou de ses affects (traumatiques, souvent). Au niveau des effets recherchés, une anamnèse orientée permet de recueillir les éléments personnels que le sujet investit dans son addiction (recherche de plaisir, de soulagement, de désinhibition, de stimulation, tentative de contrôle, besoin d’évasion...).
Pour de tels patients, la proposition d’un accompagnement avec l’hypnose a quelque chose de familier. Par la suite, il sera possible de proposer cette alternative – naturelle et disponible, grâce à l’auto-hypnose – permettant de respecter l’intention initiale, tout en évitant les conséquences négatives de l’addiction. Tout au cours des séances, l’accent sera mis sur la création d’un contexte favorable : - en développant la confiance envers les ressources disponibles et le changement ;
- en créant de nouvelles expériences : des stimulations cognitives, sensorielles et affectives, autorisant un autre choix de comportement ;
- en offrant un espace de sécurité où canaliser la pulsion, où puiser les ressources nécessaires ;
- en favorisant l’autonomie et la créativité du patient ;
- en remettant du mouvement dans un processus de vie figé : revivification d’expériences personnelles d’apprentissages, métaphores de changement... ;
- en élaborant un nouveau scénario de vie significatif, enfin libéré de l’addiction, en lien avec l’intention positive, les valeurs et les besoins.
Il s’agit, au cours de ce protocole, d’accompagner le patient dans un processus de déconditionnement, en lui délivrant différents types de suggestions visant :
- à clarifier et à intensifier la prise de conscience des motivations personnelles ;
- à recadrer les fausses croyances et les règles inconscientes inadaptées : bénéfices secondaires, habitudes, qui entretiennent la dépendance ;
- à éliminer les liens entre l’addiction et la récompense, et à établir de nouvelles associations inconscientes : susciter un sentiment de révolte, de dégoût, un élan de libération... ;
- le renforcement positif et la confiance en soi, pour le soutien de la décision d’arrêter ;
- l’instauration d’un nouveau comportement, sain et antagoniste de l’addiction pathologique ;
- à faciliter les effets secondaires : physiologiques et psychologiques de l’arrêt de la consommation ;
- à apprendre à faire face aux émotions et au syndrome de manque : irritabilité, prise de poids, insomnies, peurs... notamment grâce à la pratique de l’autohypnose ;
- à encourager une reprise ou une augmentation de l’activité quotidienne : sport ;
- enfin à prendre et soutenir la décision de rester sobre sur le long terme.
Un protocole hypnotique de sevrage tabagique en 4 phases .
Pour exemple, j’utilise un protocole hypnotique de sevrage tabagique, qui se compose d’une structure globale en quatre parties successives : préparation, induction, suggestion, et réassociation. Dans chaque partie, je peux utiliser différents modules, dont certains sont optionnels, en fonction des informations recueillies et du contexte spécifique au patient.
I. PHASE DE PRÉPARATION
a. Anamnèse et évaluation initiale.
Ce questionnaire a pour but de recueillir tous les éléments nécessaires à la thérapie, de clarifier les tenants et les aboutissants de que cette addiction représente pour le patient. Cela permettra d’établir un plan d’action adapté et de personnaliser la teneur des suggestions.
Début du tabagisme
Quantification de l’intoxication
Habitudes et facteurs déclenchants
Associations contextuelles (entourage, lieux, moments) et symboliques (modèles)
Bénéfices secondaires (justifications)
Peurs et préoccupations (fausses croyances)
Tentatives et périodes d’arrêt
A recadrer en apprentissages positifs
Motivation et objectifs
Faire exprimer 3 raisons principales d’arrêter : progression en âge en conversationnel.
Comportement de remplacement
b. Entretien préalable, en hypnose conversationnelle.
Créer l’alliance thérapeutique : synchronisation, truismes...
Informer : tabagisme et triple dépendance : physique, psychologique, comportementale
Démystifier et expliquer l’hypnose
Enseigner une technique de respiration, de réassociation au corps
Développer la motivation et les ressources : reformuler les raisons et objectifs Faire des néo-associations par saupoudrage : créer des associations reliant la cigarette à des termes spécifiques évoquant ses aspects négatifs.
Délivrer des commandes encastrées Faire des recadrages sur les fausses croyances et l’intention positive.
II. PHASE D’INDUCTION.
Par Focalisation visuelle, respiratoire et relaxation corporelle ou par Induction rapide. Approfondissement
Dissociation et activation des ressources : endroit de sécurité et souvenirs positifs en lien avec la consultation.
III. PHASE DE SUGGESTION en hypnose formelle
Les premiers me consultent d’emblée pour une prise en charge de leur addiction. Ils ont déjà été informés par leur praticien traitant (médecin, parodontologue ou implantologue) du risque que leur consommation leur fait courir dans le cadre d’un traitement nécessaire. Suite à un entretien, je détermine leur implication et ma capacité à les aider, avant de proposer un protocole, que nous illustrerons plus loin, dans le cas du sevrage tabagique.
Les seconds viennent à la base pour des soins dentaires, l’anamnèse et l’examen clinique mettent à jour des lésions en lien avec leur conduite addictive. A ce moment-là, mon rôle est avant tout de les informer sur l’étiologie de leurs atteintes bucco-dentaires et de leurs répercussions sur le long terme. D’informer aussi sur les solutions possibles pour faire, s’ils le souhaitent, d’une pierre deux coups, en traitant la cause plutôt que les seuls effets. Je peux leur proposer alors mon protocole.
Passée la surprise que cette proposition peut susciter de la part d’un dentiste, et en cas d’acceptation, on se retrouve dans la même situation que précédemment. Si le cas nécessite une prise en charge plus poussée ou que les patients préfèrent se référer à un autre spécialiste, je les oriente alors vers des hypnothérapeutes de ville ou les services d’addictologie à l’hôpital.
Dépistage des conséquences bucco-dentaires La bouche est l’objet d’un important investissement psychologique et symbolique. Elle comporte une imbrication étroite des systèmes sensitifs, moteurs, nociceptifs, proprioceptifs, sympathiques et parasympathiques.
La santé bucco-dentaire, par toutes les fonctions auxquelles elle contribue (mastication, respiration, phonation, gustation, esthétique, sexualité) est un facteur essentiel de la santé générale, du bien-être et de la vie sociale. Comme on peut s’en douter, l’usage répété de substances chimiques addictives, en passant par le carrefour bucco-dentaire, peut entraîner des pathologies locales plus ou moins graves. Il peut être utile ici de rappeler les risques encourus par les usagers de produits psychoactifs à ce niveau :
- xérostomie (sécheresse buccale), pouvant entraîner une glossodynie (douleur de la langue) ou une stomatodynie (douleur affectant l’ensemble de la bouche), une surinfection mycosique (candida albicans) ;
- halitose, cacostomie (mauvaise haleine de cause générale ou locale) ;
- atteintes des tissus durs, les atteintes des faces vestibulaires et des collets dentaires sont spécifiques du patient toxicomane, selon une description faite par Lowenthal ;
- troubles fonctionnels et physiologiques, troubles occlusaux comprenant des Dysfonctionnements Temporo-Mandibulaires (DTM), des douleurs cervico-faciales ou un bruxisme.
La fumée entraîne des retards de cicatrisation après des actes chirurgicaux, des alvéolites ;
- atteintes parodontales, les patients usagers de drogues présentent fréquemment une gingivite ulcéro-nécrotique aiguë. Le fait de fumer multiplierait le risque d’atteinte parodontale par un facteur compris entre 2 et 4 ;
- atteintes des muqueuses buccales, des leucokératoses, des leucoplasies, des poussées bulleuses comme les aphtes et l’herpès, le lichen plan. La cocaïne peut susciter des lésions de la muqueuse nasale (irritation, ulcération, perforation). Ces produits peuvent déclencher diverses lésions bénignes, précancéreuses, ou cancéreuses de la langue ou des muqueuses ;
- atteintes esthétiques et générales, les pathologies bucco-dentaires entraînent fréquemment des difficultés de mastication, d’élocution ainsi qu’une détérioration de l’apparence physique qui nuit à l’estime de soi et peut avoir des conséquences défavorables sur la vie sociale, pouvant accentuer les troubles psychiatriques et anxio-dépressifs.
La pertinence de l’utilisation de l’hypnose pour les addictions
L’hypnose permet au patient de se réapproprier la demande de soins pour ainsi adhérer pleinement à la thérapeutique proposée. Par ailleurs, il est intéressant de noter les similitudes qui existent entre le comportement addictif et l’expérience hypnotique.
Au niveau du processus, l’addiction prend la forme d’une autohypnose négative, mise en évidence par une sorte de comportement de transe pendant les crises, avec des éléments d’autosuggestion, d’hyperfocalisation, des épisodes de dissociation où le patient a le sentiment d’une perte de contrôle, d’une distanciation vis-à-vis de son corps ou de ses affects (traumatiques, souvent). Au niveau des effets recherchés, une anamnèse orientée permet de recueillir les éléments personnels que le sujet investit dans son addiction (recherche de plaisir, de soulagement, de désinhibition, de stimulation, tentative de contrôle, besoin d’évasion...).
Pour de tels patients, la proposition d’un accompagnement avec l’hypnose a quelque chose de familier. Par la suite, il sera possible de proposer cette alternative – naturelle et disponible, grâce à l’auto-hypnose – permettant de respecter l’intention initiale, tout en évitant les conséquences négatives de l’addiction. Tout au cours des séances, l’accent sera mis sur la création d’un contexte favorable : - en développant la confiance envers les ressources disponibles et le changement ;
- en créant de nouvelles expériences : des stimulations cognitives, sensorielles et affectives, autorisant un autre choix de comportement ;
- en offrant un espace de sécurité où canaliser la pulsion, où puiser les ressources nécessaires ;
- en favorisant l’autonomie et la créativité du patient ;
- en remettant du mouvement dans un processus de vie figé : revivification d’expériences personnelles d’apprentissages, métaphores de changement... ;
- en élaborant un nouveau scénario de vie significatif, enfin libéré de l’addiction, en lien avec l’intention positive, les valeurs et les besoins.
Il s’agit, au cours de ce protocole, d’accompagner le patient dans un processus de déconditionnement, en lui délivrant différents types de suggestions visant :
- à clarifier et à intensifier la prise de conscience des motivations personnelles ;
- à recadrer les fausses croyances et les règles inconscientes inadaptées : bénéfices secondaires, habitudes, qui entretiennent la dépendance ;
- à éliminer les liens entre l’addiction et la récompense, et à établir de nouvelles associations inconscientes : susciter un sentiment de révolte, de dégoût, un élan de libération... ;
- le renforcement positif et la confiance en soi, pour le soutien de la décision d’arrêter ;
- l’instauration d’un nouveau comportement, sain et antagoniste de l’addiction pathologique ;
- à faciliter les effets secondaires : physiologiques et psychologiques de l’arrêt de la consommation ;
- à apprendre à faire face aux émotions et au syndrome de manque : irritabilité, prise de poids, insomnies, peurs... notamment grâce à la pratique de l’autohypnose ;
- à encourager une reprise ou une augmentation de l’activité quotidienne : sport ;
- enfin à prendre et soutenir la décision de rester sobre sur le long terme.
Un protocole hypnotique de sevrage tabagique en 4 phases .
Pour exemple, j’utilise un protocole hypnotique de sevrage tabagique, qui se compose d’une structure globale en quatre parties successives : préparation, induction, suggestion, et réassociation. Dans chaque partie, je peux utiliser différents modules, dont certains sont optionnels, en fonction des informations recueillies et du contexte spécifique au patient.
I. PHASE DE PRÉPARATION
a. Anamnèse et évaluation initiale.
Ce questionnaire a pour but de recueillir tous les éléments nécessaires à la thérapie, de clarifier les tenants et les aboutissants de que cette addiction représente pour le patient. Cela permettra d’établir un plan d’action adapté et de personnaliser la teneur des suggestions.
Début du tabagisme
Quantification de l’intoxication
Habitudes et facteurs déclenchants
Associations contextuelles (entourage, lieux, moments) et symboliques (modèles)
Bénéfices secondaires (justifications)
Peurs et préoccupations (fausses croyances)
Tentatives et périodes d’arrêt
A recadrer en apprentissages positifs
Motivation et objectifs
Faire exprimer 3 raisons principales d’arrêter : progression en âge en conversationnel.
Comportement de remplacement
b. Entretien préalable, en hypnose conversationnelle.
Créer l’alliance thérapeutique : synchronisation, truismes...
Informer : tabagisme et triple dépendance : physique, psychologique, comportementale
Démystifier et expliquer l’hypnose
Enseigner une technique de respiration, de réassociation au corps
Développer la motivation et les ressources : reformuler les raisons et objectifs Faire des néo-associations par saupoudrage : créer des associations reliant la cigarette à des termes spécifiques évoquant ses aspects négatifs.
Délivrer des commandes encastrées Faire des recadrages sur les fausses croyances et l’intention positive.
II. PHASE D’INDUCTION.
Par Focalisation visuelle, respiratoire et relaxation corporelle ou par Induction rapide. Approfondissement
Dissociation et activation des ressources : endroit de sécurité et souvenirs positifs en lien avec la consultation.
III. PHASE DE SUGGESTION en hypnose formelle
Dr Olivier BENARROCHE Chirurgien-dentiste à Cagnes-sur-Mer, utilise l’hypnose médicale depuis 2005. Cofondateur et vice-président de l’Académie azuréenne d’Hypnose, association réunissant des professionnels de santé dans la région PACA. Il est en outre formateur au DU d’Hypnose médicale et au DU d’Hypnose dentaire à l’Université de Nice. Il est l’auteur de publications dans des revues spécialisées, ainsi que de conférences, en particulier au sein de la CFHTB.
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Lorsque la Version papier de ce numéro sera épuisée, la version PDF sera fournie à la place
- Éditorial : Addictions, vous avez dit addictions ? S. Cohen
- Éditorial : Hypnose et addictions... P. Vesproumis
- Opiacés et hypnose. F. Chambre, D. Derrien et P. Vesproumis
- Douleur et dépendance. G. Tosti
- L’hypnose pour arrêter de fumer. J.-M. Benhaiem
- Conduites alimentaires. B. Dubos
- Retrouver sa liberté de mouvement. D. Roberts
- L’hypnose est mouvement. M.-A. Jolly et I. Prévot-Stimec
- L’addiction est-elle irrationnelle ? J.-C. Keller
- Posons le cadre hypnotique ! D. Vergriete
- Conversations externalisantes. J. Betbèze
- Addict au sexe. J. Mignot
- Le lien sans la demande. P. Aïm
- Clinique et neurosciences. C. Pissevin
- Addictions au cabinet dentaire. O. Benarroche
- Addiction et résilience. G. Ostermann
- Du traumatisme à l’addiction. C. Van Loey
- Sevrage tabagique. M. Galy
- Sevrage alcoolique. S. Cohen
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- Éditorial : Hypnose et addictions... P. Vesproumis
- Opiacés et hypnose. F. Chambre, D. Derrien et P. Vesproumis
- Douleur et dépendance. G. Tosti
- L’hypnose pour arrêter de fumer. J.-M. Benhaiem
- Conduites alimentaires. B. Dubos
- Retrouver sa liberté de mouvement. D. Roberts
- L’hypnose est mouvement. M.-A. Jolly et I. Prévot-Stimec
- L’addiction est-elle irrationnelle ? J.-C. Keller
- Posons le cadre hypnotique ! D. Vergriete
- Conversations externalisantes. J. Betbèze
- Addict au sexe. J. Mignot
- Le lien sans la demande. P. Aïm
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