STRATÉGIE ET INTUITION
Ces deux termes, stratégie et intuition, autour desquels tourne l’intitulé du Forum, sont en principe antinomiques. La stratégie renvoie à une élaboration consciente, rationnelle et logique en vue de préparer une action, de mener un combat, un projet, de s’assurer une conquête amoureuse, ou une conquête tout court... L’intuition, connaissance immédiate, non verbale, défiant la logique ou la déduction. La stratégie domaine du cerveau gauche, l’intuition du cerveau droit. On peut déjà dire que l’une considère et analyse (rationnellement) des détails d’une situation pour aboutir à son appréhension et à la conduite à tenir, et l’autre, l’intuition, est une sorte d’appréhension immédiate et globale (et donc irrationnelle) de cette même situation. Toute la question est donc de savoir comment une bonne stratégie thérapeutique pourrait s’élaborer au terme d’une collaboration optimale entre ces deux aspects apparemment si dissemblables de notre fonctionnement psychique.
Dans toute thérapie, qu’elle soit brève ou longue, il y a rencontre de deux êtres, de deux psychés, de deux imaginaires, de deux inconscients. Tout ce qui advient et adviendra dans cette rencontre est et sera le résultat d’une interaction thérapeute-patient et patient-thérapeute. C’est dans le cadre de telles interactions que s’opère chez le thérapeute le passage de la notion de stratégie (superposable parfois à une technique, à un protocole, dans ses aspects les plus logiques, les plus rationnels), à celle d’une attitude thérapeutique fondée pour l’essentiel sur l’intuition.
L’intuition est à mettre en relation avec un curieux et intéressant phénomène que j’ai pu souvent observer dans ma pratique, tout comme probablement d’autres thérapeutes. Dans un premier temps et au cours (ou à l’issue) d’un entretien préalable, je décide, envisage, imagine les grandes lignes d’une stratégie hypnothérapique : les techniques que je vais utiliser ou mettre en oeuvre, les possibles métaphores, le récit, puis… quelques minutes après l’induction, je me retrouve moi-même dans un état hypnotique ou sub-hypnotique et sans effort apparent s’imposent alors à moi le discours, les métaphores, le ton de voix, les mots, les scènes qui s’avéreront les plus efficientes. Intuition de la juste parole.
Une parole que je serais tentée de croire ne « s’originant » que de moi-même. Or, la pratique et l’histoire nous enseignent que l’intuition peut se situer également du côté du patient. Un exemple fameux peut en être trouvé chez un des pères tutélaires de l’hypnothérapie : le marquis de Puységur.
Hypnotisant (ou plutôt magnétisant) un de ses premiers patients, Victor Race, le marquis de Puységur fut stupéfait (entre autres phénomènes produits dans cet état somnambulique) de l’entendre chantonner des airs qu’il ne faisait qu’évoquer mentalement, selon les termes par lui utilisés dans ses propres mémoires. Il faut croire que cette observation est restée longtemps irrecevable. Et pour cause, elle n’était pas compatible avec les paradigmes des Lumières, ni même avec ceux qui ont encore cours aujourd’hui. Ce qui explique la distorsion qui en a été faite notamment par les historiens : l’évocation mentale de Puységur et explicitement relatée par lui, devient pour des auteurs comme Ellenberger, un chantonnement à voix basse… Victor Race l’aurait donc perçue au moins de façon subliminale. Assertion en totale contradiction avec ce qu’a écrit Puységur. L’idée même que Victor Race ait pu avoir une perception télépathique de ce qui se passait dans la psyché de Puységur, autrement dit une lucidité magnétique selon la terminologie de l’époque, reste inenvisageable.
Voici donc une première extension de l’état hypnotique : la lucidité. Etymologiquement, ce terme vient du latin lucidus et signifie clair, lumineux. Si l’on peut considérer de façon certes imagée, que l’état de veille est une lumière intérieure, éclairant un niveau de conscience, lorsque cette lumière gagne en intensité et en clarté, elle permet à la conscience de fonctionner alors dans le registre de la lucidité. C’est d’ailleurs pourquoi la lucidité en est venue à désigner les facultés de connaissance paranormales (on dit d’une personne qu’elle est extra-lucide).
Il y aurait à envisager quelques gradations plus qualitatives que quantitatives entre ces deux termes :
- l’intuition : une capacité d’intégration de messages perçus sur un mode métacommunicatif et infraverbal, ne faisant pas appel à la raison ni à une conscience critique ;
- la lucidité : une forme majeure d’intuition par mobilisation d’une capacité à percevoir ce qui est d’ordinaire caché, à la faveur de dons de voyance.
En résumé, l’intuition (dans l’acception que revêt habituellement ce terme) peut fort bien être conçue comme le résultat d’une perception, en partie inconsciente d’éléments métacommunicatifs (gestuelle, mimiques, attitudes corporelles) dont l’intégration aboutirait à la perception de ce qui se passe dans le monde intérieur du patient. Telle était la position d’Erickson, et j’imagine celle d’une majorité d’hypnothérapeutes. Pour moi, l’intuition dans un sens plus élargi est de l’ordre de la lucidité ; c’est une perception a minima de certaines réalités ou événements en dehors des sens communs, une télépathie de la vie quotidienne pourrait-on dire, et qui, pour ce qui concerne notre propos, pourrait se focaliser, s’actualiser dans la rencontre avec un patient, surtout en son début.
Intuition est donc devenu un mot faible mais aussi plus acceptable (un euphémisme) par rapport à ces autres réalités psychiques qu’elle recouvre et qui font scandale. Comme le souligne Bertrand Méheust, c’est bien pour éviter la lucidité magnétique et les phénomènes psychiques (on dit aujourd’hui paranormaux) qui l’accompagnaient que Charcot a promu l’hypnotisme et l’automatisme psychologique au sein desquels l’intuition est devenue un masque pudique pour cacher tout ce à quoi ouvre cet état psychique très particulier, à savoir la lucidité qui impliquerait donc un véritable saut conceptuel. Comment comprendre sur un plan psychopathologique l’entrée en scène de l’intuition puis de la lucidité ?
C’est par la résurgence des composantes archaïques de la personnalité, que l’intuition/ lucidité se met en place. Il s’agit de niveaux de l’être où s’estompent les limites du moi et du nonmoi, du dedans et du dehors. Considérations qui permettent de comprendre ce qui a pu se jouer entre Puységur et Victor Race. A la faveur de l’état hypnotique (magnétique), ressurgissent ces niveaux de l’être permettant l’instauration d’un véritable champ psychique commun : ce qui se passe dans la psyché de l’un est immédiatement perçu par la psyché de l’autre, ou plutôt partagé et ceci au-delà de toute rationalité, de toute déduction logique et de toutes limitations.
L’instauration d’un champ psychique commun est une opportunité très remarquable puisqu’elle permet, un peu à l’instar de ce qui se joue entre une mère et son nourrisson, de mettre au service de la psyché du patient ses propres ressources psychiques. Bion parle à ce sujet « d’appareil à penser les pensées ».
Autrement dit, d’une capacité maternelle à « rêver » les éprouvés et les angoisses de son nourrisson. Une capacité dite de rêverie qui consiste à prendre et à vivre en soi ce que vit l’autre, perception en partie fondée sur l’observation, mais en majeure partie sur l’intuition, ou plutôt et pour rester cohérent avec ce qui vient d’être dit, avec une lucidité. Prendre en soi les éprouvés et les angoisses de l’autre, les mettre en forme, les rendre « pensables » et renvoyer, pour la mère au nourrisson, pour le thérapeute au patient, ce même matériel redevenu métabolisable, intégrable, fantasmable. Bref, un matériel qui peut prendre place harmonieusement la vie psychique du sujet.
Mais comment s’effectue ce retour ? Chez la mère, par tout un ensemble de dispositions : une gestuelle, une certaine qualité de contact, une pensée rassurante, une parole « juste » et authentifiante. Chez l’hypnothérapeute, par une métaphore, un récit, un silence plein, résultat de tout un travail psychique qui est in fine une véritable cocréation. Le patient apportant le matériel, le thérapeute ses propres ressources psychiques, celles-là mêmes qui font défaut au patient, au moins dans le secteur de sa personnalité le plus impliqué dans ses symptômes. Dans les deux cas, il s’agit du résultat d’une interaction entre deux psychés rendue possible par l’instauration de ce champ psychique commun. Incidemment s’enclenche chez le patient en état hypnotique un processus qui échappe complètement à l’hypnothérapeute. C’est le patient lui-même qui accède à la lucidité, sur le thérapeute (cf. l’anecdote de Puységur) mais surtout sur lui-même, sur sa problématique, sur ces propres ressources et l’utilisation qu’il peut en faire. Un processus d’auto-guérison, ou mieux encore, d’évolution se met en place. Mais allons plus loin pour découvrir d’autres états de conscience, que l’on appelle les états psychophysiologiques, qui certes intègrent l’hypnose et la lucidité, mais s’étendent bien au-delà.
LES ÉTATS PSYCHOPHYSIOLOGIQUES
Nous venons de constater que l’intuition, terme domestiqué masquant celui de lucidité, donne accès à une connaissance non logique, non déductive, non rationnelle. Ceci correspond au moins en partie à la définition de la métapsychique (ancien nom de la parapsychologie) avancée par Charles Richet en 1905 : phénomènes psychologiques dus à des puissances in- connues latentes de l’intelligence humaine. C’est grâce à un questionnement sur les zones ou champs limites de la psyché, notamment la parapsychologie3, que j’ai découvert ces autres états de conscience. Cet intérêt m’a amenée à m’interroger sur les autres états de conscience, autrement dit sur le phénomène de la transe.
Ces deux termes, stratégie et intuition, autour desquels tourne l’intitulé du Forum, sont en principe antinomiques. La stratégie renvoie à une élaboration consciente, rationnelle et logique en vue de préparer une action, de mener un combat, un projet, de s’assurer une conquête amoureuse, ou une conquête tout court... L’intuition, connaissance immédiate, non verbale, défiant la logique ou la déduction. La stratégie domaine du cerveau gauche, l’intuition du cerveau droit. On peut déjà dire que l’une considère et analyse (rationnellement) des détails d’une situation pour aboutir à son appréhension et à la conduite à tenir, et l’autre, l’intuition, est une sorte d’appréhension immédiate et globale (et donc irrationnelle) de cette même situation. Toute la question est donc de savoir comment une bonne stratégie thérapeutique pourrait s’élaborer au terme d’une collaboration optimale entre ces deux aspects apparemment si dissemblables de notre fonctionnement psychique.
Dans toute thérapie, qu’elle soit brève ou longue, il y a rencontre de deux êtres, de deux psychés, de deux imaginaires, de deux inconscients. Tout ce qui advient et adviendra dans cette rencontre est et sera le résultat d’une interaction thérapeute-patient et patient-thérapeute. C’est dans le cadre de telles interactions que s’opère chez le thérapeute le passage de la notion de stratégie (superposable parfois à une technique, à un protocole, dans ses aspects les plus logiques, les plus rationnels), à celle d’une attitude thérapeutique fondée pour l’essentiel sur l’intuition.
L’intuition est à mettre en relation avec un curieux et intéressant phénomène que j’ai pu souvent observer dans ma pratique, tout comme probablement d’autres thérapeutes. Dans un premier temps et au cours (ou à l’issue) d’un entretien préalable, je décide, envisage, imagine les grandes lignes d’une stratégie hypnothérapique : les techniques que je vais utiliser ou mettre en oeuvre, les possibles métaphores, le récit, puis… quelques minutes après l’induction, je me retrouve moi-même dans un état hypnotique ou sub-hypnotique et sans effort apparent s’imposent alors à moi le discours, les métaphores, le ton de voix, les mots, les scènes qui s’avéreront les plus efficientes. Intuition de la juste parole.
Une parole que je serais tentée de croire ne « s’originant » que de moi-même. Or, la pratique et l’histoire nous enseignent que l’intuition peut se situer également du côté du patient. Un exemple fameux peut en être trouvé chez un des pères tutélaires de l’hypnothérapie : le marquis de Puységur.
Hypnotisant (ou plutôt magnétisant) un de ses premiers patients, Victor Race, le marquis de Puységur fut stupéfait (entre autres phénomènes produits dans cet état somnambulique) de l’entendre chantonner des airs qu’il ne faisait qu’évoquer mentalement, selon les termes par lui utilisés dans ses propres mémoires. Il faut croire que cette observation est restée longtemps irrecevable. Et pour cause, elle n’était pas compatible avec les paradigmes des Lumières, ni même avec ceux qui ont encore cours aujourd’hui. Ce qui explique la distorsion qui en a été faite notamment par les historiens : l’évocation mentale de Puységur et explicitement relatée par lui, devient pour des auteurs comme Ellenberger, un chantonnement à voix basse… Victor Race l’aurait donc perçue au moins de façon subliminale. Assertion en totale contradiction avec ce qu’a écrit Puységur. L’idée même que Victor Race ait pu avoir une perception télépathique de ce qui se passait dans la psyché de Puységur, autrement dit une lucidité magnétique selon la terminologie de l’époque, reste inenvisageable.
Voici donc une première extension de l’état hypnotique : la lucidité. Etymologiquement, ce terme vient du latin lucidus et signifie clair, lumineux. Si l’on peut considérer de façon certes imagée, que l’état de veille est une lumière intérieure, éclairant un niveau de conscience, lorsque cette lumière gagne en intensité et en clarté, elle permet à la conscience de fonctionner alors dans le registre de la lucidité. C’est d’ailleurs pourquoi la lucidité en est venue à désigner les facultés de connaissance paranormales (on dit d’une personne qu’elle est extra-lucide).
Il y aurait à envisager quelques gradations plus qualitatives que quantitatives entre ces deux termes :
- l’intuition : une capacité d’intégration de messages perçus sur un mode métacommunicatif et infraverbal, ne faisant pas appel à la raison ni à une conscience critique ;
- la lucidité : une forme majeure d’intuition par mobilisation d’une capacité à percevoir ce qui est d’ordinaire caché, à la faveur de dons de voyance.
En résumé, l’intuition (dans l’acception que revêt habituellement ce terme) peut fort bien être conçue comme le résultat d’une perception, en partie inconsciente d’éléments métacommunicatifs (gestuelle, mimiques, attitudes corporelles) dont l’intégration aboutirait à la perception de ce qui se passe dans le monde intérieur du patient. Telle était la position d’Erickson, et j’imagine celle d’une majorité d’hypnothérapeutes. Pour moi, l’intuition dans un sens plus élargi est de l’ordre de la lucidité ; c’est une perception a minima de certaines réalités ou événements en dehors des sens communs, une télépathie de la vie quotidienne pourrait-on dire, et qui, pour ce qui concerne notre propos, pourrait se focaliser, s’actualiser dans la rencontre avec un patient, surtout en son début.
Intuition est donc devenu un mot faible mais aussi plus acceptable (un euphémisme) par rapport à ces autres réalités psychiques qu’elle recouvre et qui font scandale. Comme le souligne Bertrand Méheust, c’est bien pour éviter la lucidité magnétique et les phénomènes psychiques (on dit aujourd’hui paranormaux) qui l’accompagnaient que Charcot a promu l’hypnotisme et l’automatisme psychologique au sein desquels l’intuition est devenue un masque pudique pour cacher tout ce à quoi ouvre cet état psychique très particulier, à savoir la lucidité qui impliquerait donc un véritable saut conceptuel. Comment comprendre sur un plan psychopathologique l’entrée en scène de l’intuition puis de la lucidité ?
C’est par la résurgence des composantes archaïques de la personnalité, que l’intuition/ lucidité se met en place. Il s’agit de niveaux de l’être où s’estompent les limites du moi et du nonmoi, du dedans et du dehors. Considérations qui permettent de comprendre ce qui a pu se jouer entre Puységur et Victor Race. A la faveur de l’état hypnotique (magnétique), ressurgissent ces niveaux de l’être permettant l’instauration d’un véritable champ psychique commun : ce qui se passe dans la psyché de l’un est immédiatement perçu par la psyché de l’autre, ou plutôt partagé et ceci au-delà de toute rationalité, de toute déduction logique et de toutes limitations.
L’instauration d’un champ psychique commun est une opportunité très remarquable puisqu’elle permet, un peu à l’instar de ce qui se joue entre une mère et son nourrisson, de mettre au service de la psyché du patient ses propres ressources psychiques. Bion parle à ce sujet « d’appareil à penser les pensées ».
Autrement dit, d’une capacité maternelle à « rêver » les éprouvés et les angoisses de son nourrisson. Une capacité dite de rêverie qui consiste à prendre et à vivre en soi ce que vit l’autre, perception en partie fondée sur l’observation, mais en majeure partie sur l’intuition, ou plutôt et pour rester cohérent avec ce qui vient d’être dit, avec une lucidité. Prendre en soi les éprouvés et les angoisses de l’autre, les mettre en forme, les rendre « pensables » et renvoyer, pour la mère au nourrisson, pour le thérapeute au patient, ce même matériel redevenu métabolisable, intégrable, fantasmable. Bref, un matériel qui peut prendre place harmonieusement la vie psychique du sujet.
Mais comment s’effectue ce retour ? Chez la mère, par tout un ensemble de dispositions : une gestuelle, une certaine qualité de contact, une pensée rassurante, une parole « juste » et authentifiante. Chez l’hypnothérapeute, par une métaphore, un récit, un silence plein, résultat de tout un travail psychique qui est in fine une véritable cocréation. Le patient apportant le matériel, le thérapeute ses propres ressources psychiques, celles-là mêmes qui font défaut au patient, au moins dans le secteur de sa personnalité le plus impliqué dans ses symptômes. Dans les deux cas, il s’agit du résultat d’une interaction entre deux psychés rendue possible par l’instauration de ce champ psychique commun. Incidemment s’enclenche chez le patient en état hypnotique un processus qui échappe complètement à l’hypnothérapeute. C’est le patient lui-même qui accède à la lucidité, sur le thérapeute (cf. l’anecdote de Puységur) mais surtout sur lui-même, sur sa problématique, sur ces propres ressources et l’utilisation qu’il peut en faire. Un processus d’auto-guérison, ou mieux encore, d’évolution se met en place. Mais allons plus loin pour découvrir d’autres états de conscience, que l’on appelle les états psychophysiologiques, qui certes intègrent l’hypnose et la lucidité, mais s’étendent bien au-delà.
LES ÉTATS PSYCHOPHYSIOLOGIQUES
Nous venons de constater que l’intuition, terme domestiqué masquant celui de lucidité, donne accès à une connaissance non logique, non déductive, non rationnelle. Ceci correspond au moins en partie à la définition de la métapsychique (ancien nom de la parapsychologie) avancée par Charles Richet en 1905 : phénomènes psychologiques dus à des puissances in- connues latentes de l’intelligence humaine. C’est grâce à un questionnement sur les zones ou champs limites de la psyché, notamment la parapsychologie3, que j’ai découvert ces autres états de conscience. Cet intérêt m’a amenée à m’interroger sur les autres états de conscience, autrement dit sur le phénomène de la transe.
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Au-delà de la technique… L’intuition ? Par Patrick Bellet.
“L’intuition peut-elle s’apprendre ?“ Par Aurélie Mainguet.
“Qui influence qui ? La relation thérapeutique revisitée. Par Irène Bouaziz.
“Entre observation et perception“. Par Sylvie Le Pelletier-Beaufond.
“Justin et l’engin magique“. Par Marie-Odile Soucaze des Soucaze.
“Hypnose du présent, hypnose de l’acceptation“. Par Alain Vallée.
“Hyperesthésie somnambulique, à propos d’un article de Bergson“. Par Bertrand Méheust.
“De l’intuition à la lucidité“. Par Djohar Si Ahmed.
“Le sens interne“. Par Bertrand Méheust. “Consultation du lundi 1er février 2010“. Par Claude Virot.
Pour acheter ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves à l’unité, ou vous abonner, cliquez ici
“L’intuition peut-elle s’apprendre ?“ Par Aurélie Mainguet.
“Qui influence qui ? La relation thérapeutique revisitée. Par Irène Bouaziz.
“Entre observation et perception“. Par Sylvie Le Pelletier-Beaufond.
“Justin et l’engin magique“. Par Marie-Odile Soucaze des Soucaze.
“Hypnose du présent, hypnose de l’acceptation“. Par Alain Vallée.
“Hyperesthésie somnambulique, à propos d’un article de Bergson“. Par Bertrand Méheust.
“De l’intuition à la lucidité“. Par Djohar Si Ahmed.
“Le sens interne“. Par Bertrand Méheust. “Consultation du lundi 1er février 2010“. Par Claude Virot.
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Laurence ADJADJ
Hypnothérapeute, Thérapie EMDR, Thérapies Brèves, Psychologue.
Formatrice en Hypnose Ericksonienne, EMDR, Thérapies Brèves Orientées Solution à l’Institut Hypnotim de Marseille, dont elle est Présidente Fondatrice.
Exerce dans le Cabinet d'Hypnose, Thérapies Brèves et EMDR de Marseille 13006
Conférencière au sein des congrès de la CFHTB, Confédération Francophone d'Hypnose et Thérapies Brèves.
Rédactrice web sur l’Hypnose et les Thérapies Brèves… En savoir plus sur cette rédactrice
Hypnothérapeute, Thérapie EMDR, Thérapies Brèves, Psychologue.
Formatrice en Hypnose Ericksonienne, EMDR, Thérapies Brèves Orientées Solution à l’Institut Hypnotim de Marseille, dont elle est Présidente Fondatrice.
Exerce dans le Cabinet d'Hypnose, Thérapies Brèves et EMDR de Marseille 13006
Conférencière au sein des congrès de la CFHTB, Confédération Francophone d'Hypnose et Thérapies Brèves.
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