Grâce au Professeur Olivier Chapet, chef de service de radiothérapie à l’hôpital Lyon-Sud à Lyon, initiateur de cette technique, nous pouvons présenter à ce jour une série de 89 patients. Tous avec le même radio- thérapeute et le même médecin anesthésiste réalisant l’hypnose. Douze patients ont nécessité une conversion en anesthésie générale. Le confort est évalué lors d’un entretien postopératoire, il est en moyenne entre 7 et 8 sur 10.
Les sources d’inconfort sont nombreuses : position les jambes en l’air, sondage urinaire, sonde rectale d’environ 3 cm de diamètre, douleur liée au geste : 10 à 15 aiguilles dans le périnée introduites sur 10 à 12 cm de profondeur. L’immobilité est une condition indispensable : en cas de mouvement du patient, toutes les aiguilles bougent et elles doivent être repositionnées, ce qui peut entraîner un allongement d’une heure de la durée de l’intervention. Le patient est aidé par une perfusion continue de rémifentanil (médicament de la famille de la morphine) de 0.04 à 0.07 g/kg/min= cible entre 0.8 et 1 environ.
Ma façon de faire habituelle est très simple : je commence par une induction par catalepsie, puis le patient « prépare » la région de l’intervention en installant « une protection » imaginaire à cet endroit du corps (voir chapitre « Les sortilèges de protection et les réglages »). L’induction dure 15 minutes environ. Puis pendant l’aseptie, la pose des sondes urinaire et rectale, la pose des champs chirurgicaux, tout ce temps est utilisé pour approfondir la transe et renforcer encore et encore la « protection »...
L’induction par catalepsie est relativement rapide chez les patients à qui cela convient. (« Laissez les yeux observer les sensations dans la main... il peut y avoir de la chaleur... ou ailleurs de la fraîcheur... ou encore... tout autre chose... ») Sinon, je propose volontiers au patient que « lorsque vous vous amuserez à refaire l’exercice ce soir... vous pourrez expérimenter comment ouvrir et fermer les yeux permet de donner beaucoup d’énergie à l’hypnose »... Si cette technique n’entraîne pas la transe escomptée, je propose au patient de se projeter dans le futur (le retour à la maison, la première consultation
de contrôle avec le radiothérapeute...) puis vers le passé, dans son thème, un genre de progression-régression en âge, qui souvent permet d’obtenir le degré de transe souhaité. Malgré tout, j’aime revenir à la catalepsie : « Si vous êtes d’accord, Monsieur, je vais prendre votre main comme ça... et la main va aider l’hypnose en lui donnant beaucoup de force... » La catalepsie garantit que le patient a un niveau d’analgésie correct. Le radiothérapeute a remarqué ça de lui-même : « Quand le patient garde le bras en l’air, je sais que je vais pouvoir commencer. »
Aux moments douloureux, je réactive la catalepsie (par exemple : « La main va aider le corps à inventer une façon de trouver du confort... »)
Transformer les difficultés en atouts : la force des suggestions paradoxales. Après installation de la transe hypnotique, les suggestions paradoxales invitent le patient à s’accommoder des difficultés qu’il va rencontrer, à en tirer parti, et à les transformer en ressources. Ces difficultés peuvent être : l’environnement bruyant, les interruptions obligeant le patient à sortir de sa transe, les sensations « inconfortables » (je dis inconfortables, pour ne pas dire « douloureuses »).
Suggérer que les interruptions donneront plus de force à l’hypnose. Les interruptions : « Nous allons bientôt être interrompus par les aides-soignants qui vont vous accompagner au bloc opératoire. Il se peut que ce soit gênant d’être dérangé ainsi. Mais il faut bien savoir qu’à chaque fois que l’hypnose est interrompue, lorsqu’on reprend, ça démarre avec beaucoup plus de force. D’ailleurs certains médecins utilisent cette technique volontairement, pour approfondir l’hypnose. »
Suggérer que le long trajet vers le bloc est un moment utile.
A chaque fois que c’est possible, j’aime aller chercher le patient dans sa chambre. J’utilise systématiquement le long trajet dans les couloirs qui conduisent le patient au bloc. C’est un moment stressant pour le patient : il quitte la personne qui l’accompagne, il part allongé, ce qui est tout à fait inhabituel. Il fait froid. Les couloirs sont interminables...
Alors quand c’est possible, je l’accompagne, et ce moment est extrêmement utile : « Laissez les yeux observer très attentivement tout ce qui est là : les couleurs, la lumière... Et aussi : les petits tressautements sous le lit, le bruit des portes de l’ascenseur... etc... toutes ces sensations sont utiles pour aider l’hypnose à se mettre en place... » J’y mets une petite note de confusion : des petits ronds, des grands ronds, des moyens ronds, certains moyens sont plus grands que certains qui sont petits, etc. Un autre intérêt est que cette observation attentive est utile à la réassociation du patient lorsqu’il fera le chemin du retour...
Suggérer que les sons et les bruits donnent de l’énergie au processus de l’hypnose.
Utilisation des sons : « Plus les sons seront intenses, surprenants, et plus l’hypnose s’active et plus cela donne de la force et de l’énergie à tout le corps. » Et quand j’ai le temps : « Les sons sont un mode d’énergie qui vient se déposer sur les tympans, et qui viennent solliciter les petites cellules nerveuses qui sont autour des oreilles... et qui donnent beaucoup de force à tout le corps... » Une variante: «Tous ces sons sont comme les petites brindilles que les oiseaux utilisent pour faire leur nid. Chaque son vient se mettre autour de la tête pour former un cocon douillet... qui petit à petit... protège tout le corps... »
Suggérer que plus les sensations (douloureuses) seront fortes, et plus il y aura de confort.
Quand les sensations sont inconfortables (je ne parle pas de douleur) : « Plus les sensations seront fortes, et plus tout s’activera, se mettra en place pour préparer la zone de l’intervention, et le confort s’étend dans tout lecorps... » Ou au moment où l’opérateur commence à implanter les aiguilles (moment douloureux), pour un patient qui marche sur la plage, par exemple : « Un caillou... gratouille la peau sous les pieds... quelquefois pique fort les pieds... Plus ça pique fort les pieds... plus tout le reste du corps paraît agréable et confortable... ou confortable et agréable... ou agréablement confortable... ou autre chose... Un petit caillou qui pique le pied... et tout change... et devient agréable... »
Suggérer que les sensations postopératoires sont bénéfiques.
C’est une phrase que je dis au moment où la douleur se calme, après la première phase douloureuse. Je la dis systématiquement, c’est toujours la même : « Et ce soir... ou demain... ou un autre jour... des sensations dans la région de l’intervention pourront apparaître... des picotements... des tiraillements... ou autre chose... et ce sera comme le signal... que quelque chose est en train de se guérir... et toutes les fonctions du corps, urinaires, sexuelles, et autres... vont reprendre leur cours normal... comme avant... peut-être même mieux qu’avant... »
Suggestions de force
Pendant toute cette période de préparation, je fais du saupoudrage de suggestions de force. Le patient a besoin de se sentir fort, pleinement acteur de son processus hypnotique.
Les sortilèges de protection et les réglages : lorsque la dissociation est bien installée, que l’hypnose est active, le patient peut mettre en place des moyens de protection. Je suggère que pour certains patients c’est une pommade, d’autres vont faire du béton... « mais la meilleure façon, c’est la vôtre, laissez venir votre façon à vous de protéger tout le bas du corps, des épaules jusqu’au bout des pieds »...
Puis il installe l’immobilité totale du bas du corps avec des suggestions de ce genre : « Plus l’esprit est calme, plus le corps est fort, plus le corps est fort, et plus il est immobile, plus le corps est immobile et plus il est fort... »
Il y a d’autres façons de préparer l’immobilité du corps, par exemple en faisant un réglage sur un cadran, ou un curseur, ou une échelle chiffrée : « Laissez venir à votre esprit un cadran, un curseur, une échelle chiffrée... (je m’assure que c’est le cas par un signaling) ; puis « laissez les yeux observer comment la main va régler le curseur sur IMMOBILITÉ TOTALE ».
Le personnage imaginaire bienveillant. Inspiré de la fameuse « partie sage » de Teresa Robles, lorsque le patient adhère à cette idée, il permet une dissociation immédiate du patient. Je suggère que le personnage imaginaire peut être un animal ou un être humain, ou les petits lutins de la forêt. « C’est un personnage bienveillant, très intelligent et très malin... » J’utilise volontairement un langage emprunté aux légendes, aux histoires fantastiques, pour inviter le patient à se laisser aller à imaginer ce qui va l’aider...
« C’est un personnage imaginaire, très gentil... Il est content que vous soyez là... à ses côtés... Il est l’héritier d’une profonde sagesse... venue des temps lointains où certains humains savaient guérir d’autres humains... Des traditions transmises de génération en génération... depuis la nuit des temps... Le personnage bienveillant connaît les herbes qui soignent... cueillies là-haut dans la montagne... ou provenant de lointains pays... Il les prépare longuement... très précautionneusement... dans des casseroles sur le feu ou des alambics... qui dégagent des odeurs étranges... et qui donnent dans la bouche des goûts puissants... et à tout le corps beaucoup de force... »
Pour la suite de l'article de ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves, cliquez ici
Les sources d’inconfort sont nombreuses : position les jambes en l’air, sondage urinaire, sonde rectale d’environ 3 cm de diamètre, douleur liée au geste : 10 à 15 aiguilles dans le périnée introduites sur 10 à 12 cm de profondeur. L’immobilité est une condition indispensable : en cas de mouvement du patient, toutes les aiguilles bougent et elles doivent être repositionnées, ce qui peut entraîner un allongement d’une heure de la durée de l’intervention. Le patient est aidé par une perfusion continue de rémifentanil (médicament de la famille de la morphine) de 0.04 à 0.07 g/kg/min= cible entre 0.8 et 1 environ.
Ma façon de faire habituelle est très simple : je commence par une induction par catalepsie, puis le patient « prépare » la région de l’intervention en installant « une protection » imaginaire à cet endroit du corps (voir chapitre « Les sortilèges de protection et les réglages »). L’induction dure 15 minutes environ. Puis pendant l’aseptie, la pose des sondes urinaire et rectale, la pose des champs chirurgicaux, tout ce temps est utilisé pour approfondir la transe et renforcer encore et encore la « protection »...
L’induction par catalepsie est relativement rapide chez les patients à qui cela convient. (« Laissez les yeux observer les sensations dans la main... il peut y avoir de la chaleur... ou ailleurs de la fraîcheur... ou encore... tout autre chose... ») Sinon, je propose volontiers au patient que « lorsque vous vous amuserez à refaire l’exercice ce soir... vous pourrez expérimenter comment ouvrir et fermer les yeux permet de donner beaucoup d’énergie à l’hypnose »... Si cette technique n’entraîne pas la transe escomptée, je propose au patient de se projeter dans le futur (le retour à la maison, la première consultation
de contrôle avec le radiothérapeute...) puis vers le passé, dans son thème, un genre de progression-régression en âge, qui souvent permet d’obtenir le degré de transe souhaité. Malgré tout, j’aime revenir à la catalepsie : « Si vous êtes d’accord, Monsieur, je vais prendre votre main comme ça... et la main va aider l’hypnose en lui donnant beaucoup de force... » La catalepsie garantit que le patient a un niveau d’analgésie correct. Le radiothérapeute a remarqué ça de lui-même : « Quand le patient garde le bras en l’air, je sais que je vais pouvoir commencer. »
Aux moments douloureux, je réactive la catalepsie (par exemple : « La main va aider le corps à inventer une façon de trouver du confort... »)
Transformer les difficultés en atouts : la force des suggestions paradoxales. Après installation de la transe hypnotique, les suggestions paradoxales invitent le patient à s’accommoder des difficultés qu’il va rencontrer, à en tirer parti, et à les transformer en ressources. Ces difficultés peuvent être : l’environnement bruyant, les interruptions obligeant le patient à sortir de sa transe, les sensations « inconfortables » (je dis inconfortables, pour ne pas dire « douloureuses »).
Suggérer que les interruptions donneront plus de force à l’hypnose. Les interruptions : « Nous allons bientôt être interrompus par les aides-soignants qui vont vous accompagner au bloc opératoire. Il se peut que ce soit gênant d’être dérangé ainsi. Mais il faut bien savoir qu’à chaque fois que l’hypnose est interrompue, lorsqu’on reprend, ça démarre avec beaucoup plus de force. D’ailleurs certains médecins utilisent cette technique volontairement, pour approfondir l’hypnose. »
Suggérer que le long trajet vers le bloc est un moment utile.
A chaque fois que c’est possible, j’aime aller chercher le patient dans sa chambre. J’utilise systématiquement le long trajet dans les couloirs qui conduisent le patient au bloc. C’est un moment stressant pour le patient : il quitte la personne qui l’accompagne, il part allongé, ce qui est tout à fait inhabituel. Il fait froid. Les couloirs sont interminables...
Alors quand c’est possible, je l’accompagne, et ce moment est extrêmement utile : « Laissez les yeux observer très attentivement tout ce qui est là : les couleurs, la lumière... Et aussi : les petits tressautements sous le lit, le bruit des portes de l’ascenseur... etc... toutes ces sensations sont utiles pour aider l’hypnose à se mettre en place... » J’y mets une petite note de confusion : des petits ronds, des grands ronds, des moyens ronds, certains moyens sont plus grands que certains qui sont petits, etc. Un autre intérêt est que cette observation attentive est utile à la réassociation du patient lorsqu’il fera le chemin du retour...
Suggérer que les sons et les bruits donnent de l’énergie au processus de l’hypnose.
Utilisation des sons : « Plus les sons seront intenses, surprenants, et plus l’hypnose s’active et plus cela donne de la force et de l’énergie à tout le corps. » Et quand j’ai le temps : « Les sons sont un mode d’énergie qui vient se déposer sur les tympans, et qui viennent solliciter les petites cellules nerveuses qui sont autour des oreilles... et qui donnent beaucoup de force à tout le corps... » Une variante: «Tous ces sons sont comme les petites brindilles que les oiseaux utilisent pour faire leur nid. Chaque son vient se mettre autour de la tête pour former un cocon douillet... qui petit à petit... protège tout le corps... »
Suggérer que plus les sensations (douloureuses) seront fortes, et plus il y aura de confort.
Quand les sensations sont inconfortables (je ne parle pas de douleur) : « Plus les sensations seront fortes, et plus tout s’activera, se mettra en place pour préparer la zone de l’intervention, et le confort s’étend dans tout lecorps... » Ou au moment où l’opérateur commence à implanter les aiguilles (moment douloureux), pour un patient qui marche sur la plage, par exemple : « Un caillou... gratouille la peau sous les pieds... quelquefois pique fort les pieds... Plus ça pique fort les pieds... plus tout le reste du corps paraît agréable et confortable... ou confortable et agréable... ou agréablement confortable... ou autre chose... Un petit caillou qui pique le pied... et tout change... et devient agréable... »
Suggérer que les sensations postopératoires sont bénéfiques.
C’est une phrase que je dis au moment où la douleur se calme, après la première phase douloureuse. Je la dis systématiquement, c’est toujours la même : « Et ce soir... ou demain... ou un autre jour... des sensations dans la région de l’intervention pourront apparaître... des picotements... des tiraillements... ou autre chose... et ce sera comme le signal... que quelque chose est en train de se guérir... et toutes les fonctions du corps, urinaires, sexuelles, et autres... vont reprendre leur cours normal... comme avant... peut-être même mieux qu’avant... »
Suggestions de force
Pendant toute cette période de préparation, je fais du saupoudrage de suggestions de force. Le patient a besoin de se sentir fort, pleinement acteur de son processus hypnotique.
Les sortilèges de protection et les réglages : lorsque la dissociation est bien installée, que l’hypnose est active, le patient peut mettre en place des moyens de protection. Je suggère que pour certains patients c’est une pommade, d’autres vont faire du béton... « mais la meilleure façon, c’est la vôtre, laissez venir votre façon à vous de protéger tout le bas du corps, des épaules jusqu’au bout des pieds »...
Puis il installe l’immobilité totale du bas du corps avec des suggestions de ce genre : « Plus l’esprit est calme, plus le corps est fort, plus le corps est fort, et plus il est immobile, plus le corps est immobile et plus il est fort... »
Il y a d’autres façons de préparer l’immobilité du corps, par exemple en faisant un réglage sur un cadran, ou un curseur, ou une échelle chiffrée : « Laissez venir à votre esprit un cadran, un curseur, une échelle chiffrée... (je m’assure que c’est le cas par un signaling) ; puis « laissez les yeux observer comment la main va régler le curseur sur IMMOBILITÉ TOTALE ».
Le personnage imaginaire bienveillant. Inspiré de la fameuse « partie sage » de Teresa Robles, lorsque le patient adhère à cette idée, il permet une dissociation immédiate du patient. Je suggère que le personnage imaginaire peut être un animal ou un être humain, ou les petits lutins de la forêt. « C’est un personnage bienveillant, très intelligent et très malin... » J’utilise volontairement un langage emprunté aux légendes, aux histoires fantastiques, pour inviter le patient à se laisser aller à imaginer ce qui va l’aider...
« C’est un personnage imaginaire, très gentil... Il est content que vous soyez là... à ses côtés... Il est l’héritier d’une profonde sagesse... venue des temps lointains où certains humains savaient guérir d’autres humains... Des traditions transmises de génération en génération... depuis la nuit des temps... Le personnage bienveillant connaît les herbes qui soignent... cueillies là-haut dans la montagne... ou provenant de lointains pays... Il les prépare longuement... très précautionneusement... dans des casseroles sur le feu ou des alambics... qui dégagent des odeurs étranges... et qui donnent dans la bouche des goûts puissants... et à tout le corps beaucoup de force... »
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EDWIGE RIGAL
Médecin anesthésiste-réanimateur, praticien hospitalier à l’hôpital de la Croix-Rousse à Lyon. DU d’Hypnose médicale. DU Médecine, méditation et neurosciences. Certificat d’Hypnose clinique. Expérience en hypnose au bloc, notamment en neurochirurgie, chirurgie thyroïdienne, endoscopies digestives, curiethérapie de prostate... Centre de la Douleur de l’hôpital de la Croix- Rousse. Anime des groupes « Hypnose et méditation » dans le cadre de ce même service. Enseigne pour le DU d’Hypnose et pour le Module optionnel d’Hypnose Université Lyon 1.
Médecin anesthésiste-réanimateur, praticien hospitalier à l’hôpital de la Croix-Rousse à Lyon. DU d’Hypnose médicale. DU Médecine, méditation et neurosciences. Certificat d’Hypnose clinique. Expérience en hypnose au bloc, notamment en neurochirurgie, chirurgie thyroïdienne, endoscopies digestives, curiethérapie de prostate... Centre de la Douleur de l’hôpital de la Croix- Rousse. Anime des groupes « Hypnose et méditation » dans le cadre de ce même service. Enseigne pour le DU d’Hypnose et pour le Module optionnel d’Hypnose Université Lyon 1.
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- Éditorial : De la douleur à la douceur ? M. Arnaud
- Fibromyalgie. A. Vallée
- Douleurs traumatiques. G. Chaboud
- Hypnose et recherche. A. Vanhaudenhuyse et M.-E. Faymonville
- Rééducation et hypnose. V. Monfort
- La présence. M. Galy
- Blessures de tennis. V. Dasle
- La douleur chronique. B. Dubos
- Mon banal de la douleur. A. Bioy
- Communication thérapeutique. E. Boselli
- Éditorial : P. Houssel
- Césarienne naturelle. F. Bernard
- Gant analgésique. X. Paqueron
- L’hypnose périopératoire. F. Roelants et C. Watremez
- Soins dentaires chez l’enfant. C. Martin
- Curiethérapie. E. Rigal
- Hypnose et anesthésie. F. Hamon
- Une conteuse au bloc opératoire. A. Khaled
- Aux Urgences. N. Guler et S. Weber
- Pédiatrie, dans un bloc opératoire. M. Marchal
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- La douleur chronique. B. Dubos
- Mon banal de la douleur. A. Bioy
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- Curiethérapie. E. Rigal
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