L’attente puis l’arrivée d’un enfant entraînent, pour toute mère, un grand bouleversement. Bouleversement familial, car cet enfant va venir modifier la pyramide des âges et pousser vers la sortie les aînés, bouleversement conjugal car le couple initial devra fonctionner désormais avec un voire des tiers, et bouleversement personnel enfin, évident, qui vient questionner chaque mère sur son rôle, son avenir, ses envies personnelles, ses engagements… Rien de moins !
Oui, accueillir un enfant est devenu aujourd’hui un évènement à la fois très simple, un phénomène existant depuis la nuit des temps, et très complexe, riche de changements et de conséquences. Et puis il faut le dire, même si cet enfant a été porté, attendu, aimé, il reste pour ses futurs parents un parfait inconnu ! Même les progrès de l’imagerie moderne, qui apportent désormais une très bonne approximation du physique de l’enfant, ne permettent pas de dire quel caractère va avoir l’enfant, quelle sera son odeur, sa façon de sourire, toutes ces particularités qui font de chacun de nous des êtres uniques. Et c’est aussi à cette rencontre là que la future mère, les futurs parents doivent se préparer.
Dans ce moment de changement révolutionnaire viennent se produire également, pour la future mère, de grands bouleversements hormonaux, qui viennent eux aussi influencer son fonctionnement psychique. L’ensemble de ces phénomènes font de cette période de périnatalité une période de grande fragilité. Cette fragilité peut être renforcée par des évènements de vie (deuils, séparations, problèmes de santé de la mère ou du bébé, etc.), par l’isolement social ou amical (actuellement de plus en plus de jeunes mères se retrouvent isolées de leur famille ou de leurs amis, pour des raisons de mutation professionnelle par exemple, ou de changement géographique de lieu de vie), par l’absence de transmission familiale. Mais cette fragilité peut aussi être ébranlée de façon insidieuse tout simplement par la pression de la société, de la famille, des amis, des collègues.
L’image de mère parfaite renvoyée par les magazines, la société, peut être bien cruelle. En effet, imaginez-vous par exemple, exténuée, fatiguée, quelques kilos en trop, ayant pour seul objectif de réussir à vous doucher correctement d’ici à la fin de la journée, entre deux pleurs, deux tétées, le bain… Ne comprenant pas, ou pas toujours, les demandes de ce nourrisson qui bizarrement décide de pleurer sans discontinuer à 18 heures précises… Votre conjoint rentre du travail et s’attend à trouver une compagne aimante et épanouie et un nourrisson aux joues bien rondes... L’accueil n’est pas idyllique et des tensions s’ensuivent... Et vous tombez négligemment sur la couverture d’un magazine féminin qui vous montre telle star magnifique ayant retrouvé sa ligne et son sourire, et à l’intérieur, un tas enfant ( l’aimer, le stimuler, lui faire des purées maison, une chambre déco, l’habiller à la mode) et de votre vie (rester une amante passionnée, élégamment vêtue, sortir avec des copines , vous extasier sur le bonheur que vous procure cet enfant, etc.)
Et c’est l’effondrement, le doute, le questionnement. Suis-je une bonne mère ? Serai-je à la hauteur ? Comment savoir que je l’aime ? Qu’il m’aime ? Saurai-je assurer son avenir ? À qui puis-je dire que je ne supporte plus ses cris ? Que je suis fatiguée ? Que parfois je voudrais qu’il ne soit pas là ? Que je m’ennuie, parfois même pendant ce congé maternité qui est à la fois paradoxalement trop court et avec parfois des journées trop longues…
Bien sûr, ces questions, la plupart des mères les traversent, les transcendent, finissent par s’en amuser après être cependant passées par des moments de tensions inéluctables. Mais pour certaines, les questions restent et viennent attaquer le lien tout neuf qui se met en place, l’attachement, l’envie de prendre soin. C’est dans cette phase de profond désarroi que les jeunes mères cherchent un lieu de consultation serein, neutre, et surtout sans jugement, afin de retrouver confiance dans leurs compétences maternelles et surtout recréer du lien avec leur bébé, car pour certaines ce lien est devenu très ténu (nous n’évoquons pas ici les problématiques psychiatriques graves pour lesquelles des dispositifs hospitaliers existent et sont parfois nécessaires, comme lors des psychoses puerpérales par exemple). Alors que faire pendant ces consultations ?
Tout d’abord : Raconter
Raconter comment, pour toutes les jeunes mères, ce moment est difficile. S’appuyer sur des exemples de patientes, d’amies, voire sur des exemples personnels pour sortir la mère de l’isolement émotionnel dans lequel elle se trouve, et déconstruire à travers cela l’image de « monstre» que certaines ont commencé à construire d’elle-même. Si possible, en racontant, introduire de l’humour, grossir le trait, prendre des situations ubuesques en exemple pour dédramatiser cette période, l’autoriser à exprimer ses pensées, même les plus sombres, comme faisant partie d’un phénomène naturel, et restaurer à travers cela la confiance qu’il ne s’agit que de pensées… Citer des films, des livres, conseiller des lectures, des lieux de rencontre, pour déconstruire les modèles imposés par la société. Raconter pour inciter à trouver son propre style maternel, à construire sa relation, son image maternelle.
Raconter pour augmenter le potentiel de choix, aider à trouver ses propres choix dans une surcharge de conseils et d’informations de toute part. Relativiser, mettre de la distance, faire rire encore parfois en racontant que cet enfant n’aura pas toujours un mois ni des nuits de deux heures pour toujours. Raconter que lorsqu’il sera adolescent et rentrera de soirée, le matin il dormira et enfin on pourra avoir cette fichue grasse matinée, aider à se projeter dans l’avenir, percevoir cette période comme un temps finalement très court, mais que l’épuisement psychologique et hormonal grossit comme s’il devait durer toute la vie. Donner des repères dans le développement de l’enfant, des échéances. Raconter les étapes, donner de l’information médicale pour reconstruire l’histoire. Raconter des histoires. Reconstruire une nouvelle réalité plus efficace pour la jeune mère est une étape primordiale et parfois suffisante pour permettre à celle-ci de mettre en place les éléments nécessaires à son bien-être.
Laura, 27 ans, séparée de son conjoint pendant la grossesse, isolée de sa famille qui habite dans une autre région, récemment installée à Nantes. Peu d’amis dans cette nouvelle ville, quelques collègues de travail mais insuffisamment proches pour être des ressources. Elle sollicite une consultation car elle s’inquiète d’être une bonne mère pour son fils, car non seulement elle se sent isolée, mais elle a vu écrit sur son dossier médical à l’hôpital ou elle a accouché « mère à risque ». Elle a d’ailleurs dû voir, pendant son hospitalisation en suite de couches, la psychologue du service et l’assistante sociale, alors qu’elle n’en avait pas fait la demande (!), ce qu’elle a vécu comme une évaluation de ses capacités à prendre en charge son bébé.
Dès la première consultation il semble évident que Laura est une mère « suffisamment bonne » comme le qualifierait Winicott. Elle est attentionnée et compétente, et le lien avec son enfant est d’emblée observable comme de bonne qualité. Raconter des histoires de mère, plaisanter sur les difficultés liées aux premiers temps avec l’enfant et l’inciter à prendre contact avec des activités où elle pourrait rencontrer de jeunes mères (massage pour bébé, ludothèque etc.) a suffi à lui permettre de reprendre confiance dans ses compétences et à faire avoir tort au personnel de la clinique. Aujourd’hui, elle et son bébé vont bien. Elle a repris son travail et ses projets.
Observer
Parfois, bien sûr, raconter ne suffit pas. Cela a permis parfois d’initier un mouvement, de créer une alliance thérapeutique, mais insuffisamment pour que la compétence maternelle soit restaurée et que le lien avec l’enfant évolue positivement. Alors il faut apprendre à la jeune mère à observer son bébé pour apprendre à repérer chez lui les signes que le lien est en place, les signes de bien-être ou de bon développement , les signes positifs encourageants. Ou parfois à repérer l’inconfort, et en observant cet inconfort, de le décoder pour pouvoir y réagir. Et ainsi, de façon circulaire, observer encore que cette réaction entraîne une satisfaction, une reconnaissance. Se fixer sur les éléments positifs de lien et de communication, pour que la mère puisse les identifier seule, et s’en servir comme support a la réassurance que le lien existe bien Observer le bébé dans sa poussette lorsqu’il dort, ou sur le tapis d’éveil lorsqu’il joue, ou lors de la tétée qu’elle soit au sein ou au biberon, ou encore lorsqu’il est simplement dans les bras. Est-ce qu’il sourit ? Quelle est sa posture ? En fonction de son âge, est-ce qu’il cherche à explorer son environnement ?
Dr ISABELLE STIMEC
Psychiatre. Pratique l’hypnose et les thérapies intégratives au sein du CITI (centre interdisciplinaire de thérapie intégrative) à Rezé, Loire Atlantique. Secrétaire de l’institut Milton H. Erickson de Rezé. Formatrice et conférencière.
Oui, accueillir un enfant est devenu aujourd’hui un évènement à la fois très simple, un phénomène existant depuis la nuit des temps, et très complexe, riche de changements et de conséquences. Et puis il faut le dire, même si cet enfant a été porté, attendu, aimé, il reste pour ses futurs parents un parfait inconnu ! Même les progrès de l’imagerie moderne, qui apportent désormais une très bonne approximation du physique de l’enfant, ne permettent pas de dire quel caractère va avoir l’enfant, quelle sera son odeur, sa façon de sourire, toutes ces particularités qui font de chacun de nous des êtres uniques. Et c’est aussi à cette rencontre là que la future mère, les futurs parents doivent se préparer.
Dans ce moment de changement révolutionnaire viennent se produire également, pour la future mère, de grands bouleversements hormonaux, qui viennent eux aussi influencer son fonctionnement psychique. L’ensemble de ces phénomènes font de cette période de périnatalité une période de grande fragilité. Cette fragilité peut être renforcée par des évènements de vie (deuils, séparations, problèmes de santé de la mère ou du bébé, etc.), par l’isolement social ou amical (actuellement de plus en plus de jeunes mères se retrouvent isolées de leur famille ou de leurs amis, pour des raisons de mutation professionnelle par exemple, ou de changement géographique de lieu de vie), par l’absence de transmission familiale. Mais cette fragilité peut aussi être ébranlée de façon insidieuse tout simplement par la pression de la société, de la famille, des amis, des collègues.
L’image de mère parfaite renvoyée par les magazines, la société, peut être bien cruelle. En effet, imaginez-vous par exemple, exténuée, fatiguée, quelques kilos en trop, ayant pour seul objectif de réussir à vous doucher correctement d’ici à la fin de la journée, entre deux pleurs, deux tétées, le bain… Ne comprenant pas, ou pas toujours, les demandes de ce nourrisson qui bizarrement décide de pleurer sans discontinuer à 18 heures précises… Votre conjoint rentre du travail et s’attend à trouver une compagne aimante et épanouie et un nourrisson aux joues bien rondes... L’accueil n’est pas idyllique et des tensions s’ensuivent... Et vous tombez négligemment sur la couverture d’un magazine féminin qui vous montre telle star magnifique ayant retrouvé sa ligne et son sourire, et à l’intérieur, un tas enfant ( l’aimer, le stimuler, lui faire des purées maison, une chambre déco, l’habiller à la mode) et de votre vie (rester une amante passionnée, élégamment vêtue, sortir avec des copines , vous extasier sur le bonheur que vous procure cet enfant, etc.)
Et c’est l’effondrement, le doute, le questionnement. Suis-je une bonne mère ? Serai-je à la hauteur ? Comment savoir que je l’aime ? Qu’il m’aime ? Saurai-je assurer son avenir ? À qui puis-je dire que je ne supporte plus ses cris ? Que je suis fatiguée ? Que parfois je voudrais qu’il ne soit pas là ? Que je m’ennuie, parfois même pendant ce congé maternité qui est à la fois paradoxalement trop court et avec parfois des journées trop longues…
Bien sûr, ces questions, la plupart des mères les traversent, les transcendent, finissent par s’en amuser après être cependant passées par des moments de tensions inéluctables. Mais pour certaines, les questions restent et viennent attaquer le lien tout neuf qui se met en place, l’attachement, l’envie de prendre soin. C’est dans cette phase de profond désarroi que les jeunes mères cherchent un lieu de consultation serein, neutre, et surtout sans jugement, afin de retrouver confiance dans leurs compétences maternelles et surtout recréer du lien avec leur bébé, car pour certaines ce lien est devenu très ténu (nous n’évoquons pas ici les problématiques psychiatriques graves pour lesquelles des dispositifs hospitaliers existent et sont parfois nécessaires, comme lors des psychoses puerpérales par exemple). Alors que faire pendant ces consultations ?
Tout d’abord : Raconter
Raconter comment, pour toutes les jeunes mères, ce moment est difficile. S’appuyer sur des exemples de patientes, d’amies, voire sur des exemples personnels pour sortir la mère de l’isolement émotionnel dans lequel elle se trouve, et déconstruire à travers cela l’image de « monstre» que certaines ont commencé à construire d’elle-même. Si possible, en racontant, introduire de l’humour, grossir le trait, prendre des situations ubuesques en exemple pour dédramatiser cette période, l’autoriser à exprimer ses pensées, même les plus sombres, comme faisant partie d’un phénomène naturel, et restaurer à travers cela la confiance qu’il ne s’agit que de pensées… Citer des films, des livres, conseiller des lectures, des lieux de rencontre, pour déconstruire les modèles imposés par la société. Raconter pour inciter à trouver son propre style maternel, à construire sa relation, son image maternelle.
Raconter pour augmenter le potentiel de choix, aider à trouver ses propres choix dans une surcharge de conseils et d’informations de toute part. Relativiser, mettre de la distance, faire rire encore parfois en racontant que cet enfant n’aura pas toujours un mois ni des nuits de deux heures pour toujours. Raconter que lorsqu’il sera adolescent et rentrera de soirée, le matin il dormira et enfin on pourra avoir cette fichue grasse matinée, aider à se projeter dans l’avenir, percevoir cette période comme un temps finalement très court, mais que l’épuisement psychologique et hormonal grossit comme s’il devait durer toute la vie. Donner des repères dans le développement de l’enfant, des échéances. Raconter les étapes, donner de l’information médicale pour reconstruire l’histoire. Raconter des histoires. Reconstruire une nouvelle réalité plus efficace pour la jeune mère est une étape primordiale et parfois suffisante pour permettre à celle-ci de mettre en place les éléments nécessaires à son bien-être.
Laura, 27 ans, séparée de son conjoint pendant la grossesse, isolée de sa famille qui habite dans une autre région, récemment installée à Nantes. Peu d’amis dans cette nouvelle ville, quelques collègues de travail mais insuffisamment proches pour être des ressources. Elle sollicite une consultation car elle s’inquiète d’être une bonne mère pour son fils, car non seulement elle se sent isolée, mais elle a vu écrit sur son dossier médical à l’hôpital ou elle a accouché « mère à risque ». Elle a d’ailleurs dû voir, pendant son hospitalisation en suite de couches, la psychologue du service et l’assistante sociale, alors qu’elle n’en avait pas fait la demande (!), ce qu’elle a vécu comme une évaluation de ses capacités à prendre en charge son bébé.
Dès la première consultation il semble évident que Laura est une mère « suffisamment bonne » comme le qualifierait Winicott. Elle est attentionnée et compétente, et le lien avec son enfant est d’emblée observable comme de bonne qualité. Raconter des histoires de mère, plaisanter sur les difficultés liées aux premiers temps avec l’enfant et l’inciter à prendre contact avec des activités où elle pourrait rencontrer de jeunes mères (massage pour bébé, ludothèque etc.) a suffi à lui permettre de reprendre confiance dans ses compétences et à faire avoir tort au personnel de la clinique. Aujourd’hui, elle et son bébé vont bien. Elle a repris son travail et ses projets.
Observer
Parfois, bien sûr, raconter ne suffit pas. Cela a permis parfois d’initier un mouvement, de créer une alliance thérapeutique, mais insuffisamment pour que la compétence maternelle soit restaurée et que le lien avec l’enfant évolue positivement. Alors il faut apprendre à la jeune mère à observer son bébé pour apprendre à repérer chez lui les signes que le lien est en place, les signes de bien-être ou de bon développement , les signes positifs encourageants. Ou parfois à repérer l’inconfort, et en observant cet inconfort, de le décoder pour pouvoir y réagir. Et ainsi, de façon circulaire, observer encore que cette réaction entraîne une satisfaction, une reconnaissance. Se fixer sur les éléments positifs de lien et de communication, pour que la mère puisse les identifier seule, et s’en servir comme support a la réassurance que le lien existe bien Observer le bébé dans sa poussette lorsqu’il dort, ou sur le tapis d’éveil lorsqu’il joue, ou lors de la tétée qu’elle soit au sein ou au biberon, ou encore lorsqu’il est simplement dans les bras. Est-ce qu’il sourit ? Quelle est sa posture ? En fonction de son âge, est-ce qu’il cherche à explorer son environnement ?
Dr ISABELLE STIMEC
Psychiatre. Pratique l’hypnose et les thérapies intégratives au sein du CITI (centre interdisciplinaire de thérapie intégrative) à Rezé, Loire Atlantique. Secrétaire de l’institut Milton H. Erickson de Rezé. Formatrice et conférencière.
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1ère partie : hypnose pour l’enfant douloureux
Introduction ; recherches scientifiques clefs, avantages généraux de l’hypnose chez l’enfant douloureux (Chantal Wood)
Avantages de l’autohypnose et comment la proposer et suivre l’enfant (Isabelle Ignace)
Illustrations dans l’urgence et dans la durée (Thierry Moreaux)
Ce que l’hypnose modifie dans la relation entre soignant et soigné douloureux (Chantal Wood)
2ème partie: l'enfant et le monde
Déliances de l’enfance, reliances de l’adulte (Armelle Touyarot et Félix Benchimol)
Histoire de mère, histoire de bébé (Isabelle Stimec)
Double hommage à D. Stern (Luc Farcy. Stefano Colombo)
Un père raconte (Jean-Michel Hérin)
Le monstre dans la littérature fantastique (Didier Lafargue)
TOC chez l'enfant (Jean-François Marquet)
Hypnose solutionniste en pédiatrie ambulatoire (Hervé Fischer et Dominique Farges-Queraux)
De la pratique thérapeutique à l’art de vivre (Isabelle Celestin Lhopiteau)
3ème partie: l'enfant : un être de projet
L'importance de la relation en hypnothérapie avec l'enfant (Antoine Bioy, Chantal Wood))
Mon Alter Héros (Maxime Lamourette)
Pour acheter ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves à l’unité, ou vous abonner, cliquez ici
1ère partie : hypnose pour l’enfant douloureux
Introduction ; recherches scientifiques clefs, avantages généraux de l’hypnose chez l’enfant douloureux (Chantal Wood)
Avantages de l’autohypnose et comment la proposer et suivre l’enfant (Isabelle Ignace)
Illustrations dans l’urgence et dans la durée (Thierry Moreaux)
Ce que l’hypnose modifie dans la relation entre soignant et soigné douloureux (Chantal Wood)
2ème partie: l'enfant et le monde
Déliances de l’enfance, reliances de l’adulte (Armelle Touyarot et Félix Benchimol)
Histoire de mère, histoire de bébé (Isabelle Stimec)
Double hommage à D. Stern (Luc Farcy. Stefano Colombo)
Un père raconte (Jean-Michel Hérin)
Le monstre dans la littérature fantastique (Didier Lafargue)
TOC chez l'enfant (Jean-François Marquet)
Hypnose solutionniste en pédiatrie ambulatoire (Hervé Fischer et Dominique Farges-Queraux)
De la pratique thérapeutique à l’art de vivre (Isabelle Celestin Lhopiteau)
3ème partie: l'enfant : un être de projet
L'importance de la relation en hypnothérapie avec l'enfant (Antoine Bioy, Chantal Wood))
Mon Alter Héros (Maxime Lamourette)
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Valérie TOUATI-GROSS
Hypnothérapeute, Thérapie EMDR, Ostéopathe.
Exerce dans le Cabinet d'Hypnose Médicale, Ostéopathie, EMDR de Paris 12.
Spécialisée sur les traitements et approches de la Fécondation In Vitro (FIV), et de la Procréation Médicalement Assistée (PMA), Infertilité Inexpliquée.
Rédactrice web de la Revue Hypnose et Thérapies Brèves.
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Exerce dans le Cabinet d'Hypnose Médicale, Ostéopathie, EMDR de Paris 12.
Spécialisée sur les traitements et approches de la Fécondation In Vitro (FIV), et de la Procréation Médicalement Assistée (PMA), Infertilité Inexpliquée.
Rédactrice web de la Revue Hypnose et Thérapies Brèves.
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