La douleur s’exprime alors dans sa double dimension, physique et psychologique, maintenant le sujet dans une étendue de sensations douloureuses et mortifères, le ramenant sans cesse à la perspective d’une âme errant dans un corps abîmé.
Je vous invite à me suivre dans un univers parfois cahoté, parcouru de turbulences, où avec l’hypnose en bagage, des mots, des métaphores et des voyages peuvent contribuer à l’apaisement des douleurs physiques et morales de sujets profondément marqués par des événements souvent dramatiques.
Au sujet du traumatisme psychique...
Le traumatisme psychique, comme le souligne François Lebigot, génère une souffrance qui vient de l’intérieur de l’appareil psychique et qui ne disparaît pas avec la fin de l’événement à l’origine de cette souffrance. Il survient suite à un événement soudain et brutal, auquel le sujet n’était pas préparé et au cours duquel il est submergé et se sent démuni de par sa confrontation avec le réel de la mort, c’est-à-dire la rencontre directe d’un individu avec le risque immédiat de sa propre mort ou d’une vive atteinte de son corps. Le fait d’assister physiquement à la mort brutale d’une tierce personne, ou d’être confronté subitement ou régulièrement à des corps abîmés ou des cadavres en nombre, est également considéré comme un facteur rendant possible la survenue d’un traumatisme psychique. Notons que dans sa dernière version, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5) ajoute un critère (A3) conférant un potentiel traumatique au fait d’apprendre, pour un sujet, qu’un événement d’une telle nature concerne un membre de la famille proche ou un ami proche.
... et de l’hypnose
Dans le traitement des traumatismes psychiques, l’hypnose apporte une souplesse salutaire à l’approche psychothérapique, par la richesse et la diversité des contenus qu’il est possible de créer afin de proposer au patient un accompagnement personnalisé et par conséquent plus adapté à la singularité de sa problématique. Les psychothérapies du traumatisme psychique impliquent, peut-être plus encore qu’avec d’autres types de souffrances, de tenir compte des fragilités du sujet antérieures à l’événement identifié comme étant à l’origine de son mal-être. Selon mon expérience, le traitement par l’hypnose des symptômes invalidants liés au trouble de stress post-traumatique offre de bonnes perspectives de rémission et d’amélioration de la qualité de vie des sujets, en permettant une réduction significative, voire une disparition pure et simple des symptômes d’angoisse, de reviviscence diurnes et nocturnes, des symptômes d’hypervigilance et d’émoussement émotionnel.
C’est bien là un intérêt de l’hypnose : permettre d’accéder au « corps étranger»décrit par Pierre Janet dans sa thèse èslettres L’automatisme psychologique (1889), sans que le patient ou le thérapeute ait nécessairement besoin de l’évoquer ou de l’invoquer directement. L’utilisation d’une technique comme la double (voire triple) dissociation, qui consiste à dissocier le patient une première fois lors de l’induction et une deuxième fois au cours de la transe hypnotique, permet de réduire la charge émotionnelle liée à la scène traumatique.
Ma pratique de l’hypnose auprès des personnes souffrant de trouble de stress post-traumatique s’inscrit clairement dans une inspiration du courant ericksonien, nécessitant parfois une main de fer dans un gant de velours. L’émotion et la détresse manifestées par certains sujets au cours des séances d’hypnose impliquent que le thérapeute soit en capacité d’accompagner le patient, parfois fermement, mais toujours avec empathie
La qualité du lien patient-thérapeute importe plus que la technique thérapeutique utilisée et humanité, afin qu’il ne soit pas emporté par la vague émotionnelle qui le submerge.
L’importance de l’alliance thérapeutique, à ce moment précis, se manifeste à travers l’acceptation par le patient de se laisser porter, avec les suggestions du thérapeute, par cette vague émotionnelle, afin qu’il expérimente qu’il peut suivre le mouvement plutôt que d’essayer de le maîtriser ou de le contrer, à la manière des navigateurs sur leurs frêles embarcations face à la grande vague, célèbre peinture d’Hokusaiet référence métaphorique largement empruntée à Jean Becchio.
Face à un sujet en souffrance, le thérapeute doit veiller à présenter une forme de constance dans son accompagnement, dans son écoute, afin de proposer un cadre, réceptacle des émotions du patient, qui ne génère pas d’angoisse ou d’inconfort supplémentaire et qui ne s’effondre pas sous le poids de ceux-ci. C’est-à-dire que le thérapeute doit être en capacité d’entendre la souffrance de l’Autre dans ce qu’elle a de singulière, sans (ré)agir à celle-ci autrement qu’avec bienveillance (qui ne signifie pas compassion).
... d’humilité et de bienveillance
La qualité du lien patient-thérapeute importe plus que la technique thérapeutique utilisée. Non pas que celle-ci a peu d’impact, mais sans lien de confiance, rien n’est possible. Cela implique que le thérapeute fasse preuve d’humilité et de bienveillance, adoptant une posture d’éclaireur plutôt que de guide. Il ne doit pas perdre de vue que c’est le patient qui « sait », même si ce dernier peut ne pas savoir qu’il sait...
Il arrive que des patients se présentent en consultation avec une demande qui place le soignant dans une position de toute-puissance, de sachant détenteur d’un savoir (pouvoir) universel, dont il suffirait de verser les bons mots sur ses plaies pour obtenir une « guérison miraculeuse ». Dans l’univers professionnel au sein duquel j’évolue, cette croyance est particulièrement ancrée et la tentation est grande pour les soignants de l’âme et du corps de s’y fourvoyer.
Damien1 est un sapeur-pompier qui m’a été adressé en urgence, il y a quelques semaines, par un médecin du service de santé et de secours médical (structure interne à l’institution sapeurs-pompiers, qui traite toutes les questions de santé opérationnelle des agents). Il va mal.Victime d’un accident en service commandé en 2016, au cours duquel il a été projeté dans les airs par le souffle d’une explosion et est tombé lourdement au sol sur le flanc, il ressent, depuis, des douleurs au niveau des vertèbres avec une irradiation au niveau du mollet droit. Mais, au-delà des douleurs, Damien est envahi, depuis cet accident, par des images et des visions d’horreur. Malgré lui, il revit des interventions qui l’ont marqué bien des années auparavant et n’a aucune prise sur les corps déchiquetés qui surgissent devant ses yeux ou sur cette enfant qu’il n’a pas « su sauver ». Damien a
le sentiment de devenir « fou », de perdre totalement le contrôle de son esprit et de sa vie. Il présente une estime de soi très dépréciée, lui qui faisait office de roc, de repère, de capitaine à la tête de l’embarcation familiale. Il se vit comme « un légume, comme un poids, inutile ».
Lorsqu’il arrive dans mon bureau, Damien est hagard, semblant sursauter au moindre bruit. Il présente des phases d’absence, revenant brutalement dans une semi-conscience, les yeux écarquillés exprimant une profonde détresse, comme dépassé par son vécu intérieur. En d’autres termes, Damien est dissocié, son attitude est caractéristique des personnes présentant un trouble de stress post-traumatique, caractéristique également de cet état entre deux mondes que nous connaissons bien avec la transe hypnotique, au détail près que le sien est rempli par l’inconfort et la peur
La deuxième et la troisième séance s’avéreront déterminantes dans la rémission des symptômes post-traumatiques
permanente. Au moment de notre rencontre, il a repris une activité opérationnelle partielle depuis quelques semaines, après un an et demi d’arrêt. C’est lui qui a insisté pour reprendre le travail, ne supportant plus d’être chez lui « à tourner en rond ».
La prise en charge de Damien nécessitera quatre séances précédées d’une rencontre initiale, consacrée à la détermination de l’origine de la plainte, à l’anamnèse ainsi qu’à la levée des croyances éventuelles liées à l’hypnose mais également aux pouvoirs supposés du « psy », en insistant notamment sur le fait qu’il s’agit d’un travail d’équipe. Les quatre autres séances sont, elles, consacrées au traitement des symptômes psychotraumatiques.
Lors de la première séance d’hypnose, nous nous contentons, avec Damien, de définir et d’établir un lieu sûr (safe place), afin de garantir un socle de sécurité qui servira de point ressource, de base de départ, de retour et/ou de repli. Pour cela, je choisis de lui proposer une induction par un scan corporel, qui présente l’avantage de lui permettre de faire une cartographie précise des zones de confort et d’inconfort. Une fois le lieu sûr établi, je propose à Damien d’effectuer un ancrage de cet emplacement, afin qu’il puisse s’en servir « chaque fois que ce sera nécessaire » dans le but d’apaiser l’angoisse lors des prises de gardes à venir. En sortie de transe, Damien éprouve un sentiment d’apaisement important, qui lui permet de prendre un peu de distance par rapport aux hallucinations visuelles qui continuent de l’assaillir.
La deuxième et la troisième séance s’avéreront déterminantes...
Pour la suite de l'article de ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves, cliquez ici
Je vous invite à me suivre dans un univers parfois cahoté, parcouru de turbulences, où avec l’hypnose en bagage, des mots, des métaphores et des voyages peuvent contribuer à l’apaisement des douleurs physiques et morales de sujets profondément marqués par des événements souvent dramatiques.
Au sujet du traumatisme psychique...
Le traumatisme psychique, comme le souligne François Lebigot, génère une souffrance qui vient de l’intérieur de l’appareil psychique et qui ne disparaît pas avec la fin de l’événement à l’origine de cette souffrance. Il survient suite à un événement soudain et brutal, auquel le sujet n’était pas préparé et au cours duquel il est submergé et se sent démuni de par sa confrontation avec le réel de la mort, c’est-à-dire la rencontre directe d’un individu avec le risque immédiat de sa propre mort ou d’une vive atteinte de son corps. Le fait d’assister physiquement à la mort brutale d’une tierce personne, ou d’être confronté subitement ou régulièrement à des corps abîmés ou des cadavres en nombre, est également considéré comme un facteur rendant possible la survenue d’un traumatisme psychique. Notons que dans sa dernière version, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5) ajoute un critère (A3) conférant un potentiel traumatique au fait d’apprendre, pour un sujet, qu’un événement d’une telle nature concerne un membre de la famille proche ou un ami proche.
... et de l’hypnose
Dans le traitement des traumatismes psychiques, l’hypnose apporte une souplesse salutaire à l’approche psychothérapique, par la richesse et la diversité des contenus qu’il est possible de créer afin de proposer au patient un accompagnement personnalisé et par conséquent plus adapté à la singularité de sa problématique. Les psychothérapies du traumatisme psychique impliquent, peut-être plus encore qu’avec d’autres types de souffrances, de tenir compte des fragilités du sujet antérieures à l’événement identifié comme étant à l’origine de son mal-être. Selon mon expérience, le traitement par l’hypnose des symptômes invalidants liés au trouble de stress post-traumatique offre de bonnes perspectives de rémission et d’amélioration de la qualité de vie des sujets, en permettant une réduction significative, voire une disparition pure et simple des symptômes d’angoisse, de reviviscence diurnes et nocturnes, des symptômes d’hypervigilance et d’émoussement émotionnel.
C’est bien là un intérêt de l’hypnose : permettre d’accéder au « corps étranger»décrit par Pierre Janet dans sa thèse èslettres L’automatisme psychologique (1889), sans que le patient ou le thérapeute ait nécessairement besoin de l’évoquer ou de l’invoquer directement. L’utilisation d’une technique comme la double (voire triple) dissociation, qui consiste à dissocier le patient une première fois lors de l’induction et une deuxième fois au cours de la transe hypnotique, permet de réduire la charge émotionnelle liée à la scène traumatique.
Ma pratique de l’hypnose auprès des personnes souffrant de trouble de stress post-traumatique s’inscrit clairement dans une inspiration du courant ericksonien, nécessitant parfois une main de fer dans un gant de velours. L’émotion et la détresse manifestées par certains sujets au cours des séances d’hypnose impliquent que le thérapeute soit en capacité d’accompagner le patient, parfois fermement, mais toujours avec empathie
La qualité du lien patient-thérapeute importe plus que la technique thérapeutique utilisée et humanité, afin qu’il ne soit pas emporté par la vague émotionnelle qui le submerge.
L’importance de l’alliance thérapeutique, à ce moment précis, se manifeste à travers l’acceptation par le patient de se laisser porter, avec les suggestions du thérapeute, par cette vague émotionnelle, afin qu’il expérimente qu’il peut suivre le mouvement plutôt que d’essayer de le maîtriser ou de le contrer, à la manière des navigateurs sur leurs frêles embarcations face à la grande vague, célèbre peinture d’Hokusaiet référence métaphorique largement empruntée à Jean Becchio.
Face à un sujet en souffrance, le thérapeute doit veiller à présenter une forme de constance dans son accompagnement, dans son écoute, afin de proposer un cadre, réceptacle des émotions du patient, qui ne génère pas d’angoisse ou d’inconfort supplémentaire et qui ne s’effondre pas sous le poids de ceux-ci. C’est-à-dire que le thérapeute doit être en capacité d’entendre la souffrance de l’Autre dans ce qu’elle a de singulière, sans (ré)agir à celle-ci autrement qu’avec bienveillance (qui ne signifie pas compassion).
... d’humilité et de bienveillance
La qualité du lien patient-thérapeute importe plus que la technique thérapeutique utilisée. Non pas que celle-ci a peu d’impact, mais sans lien de confiance, rien n’est possible. Cela implique que le thérapeute fasse preuve d’humilité et de bienveillance, adoptant une posture d’éclaireur plutôt que de guide. Il ne doit pas perdre de vue que c’est le patient qui « sait », même si ce dernier peut ne pas savoir qu’il sait...
Il arrive que des patients se présentent en consultation avec une demande qui place le soignant dans une position de toute-puissance, de sachant détenteur d’un savoir (pouvoir) universel, dont il suffirait de verser les bons mots sur ses plaies pour obtenir une « guérison miraculeuse ». Dans l’univers professionnel au sein duquel j’évolue, cette croyance est particulièrement ancrée et la tentation est grande pour les soignants de l’âme et du corps de s’y fourvoyer.
Damien1 est un sapeur-pompier qui m’a été adressé en urgence, il y a quelques semaines, par un médecin du service de santé et de secours médical (structure interne à l’institution sapeurs-pompiers, qui traite toutes les questions de santé opérationnelle des agents). Il va mal.Victime d’un accident en service commandé en 2016, au cours duquel il a été projeté dans les airs par le souffle d’une explosion et est tombé lourdement au sol sur le flanc, il ressent, depuis, des douleurs au niveau des vertèbres avec une irradiation au niveau du mollet droit. Mais, au-delà des douleurs, Damien est envahi, depuis cet accident, par des images et des visions d’horreur. Malgré lui, il revit des interventions qui l’ont marqué bien des années auparavant et n’a aucune prise sur les corps déchiquetés qui surgissent devant ses yeux ou sur cette enfant qu’il n’a pas « su sauver ». Damien a
le sentiment de devenir « fou », de perdre totalement le contrôle de son esprit et de sa vie. Il présente une estime de soi très dépréciée, lui qui faisait office de roc, de repère, de capitaine à la tête de l’embarcation familiale. Il se vit comme « un légume, comme un poids, inutile ».
Lorsqu’il arrive dans mon bureau, Damien est hagard, semblant sursauter au moindre bruit. Il présente des phases d’absence, revenant brutalement dans une semi-conscience, les yeux écarquillés exprimant une profonde détresse, comme dépassé par son vécu intérieur. En d’autres termes, Damien est dissocié, son attitude est caractéristique des personnes présentant un trouble de stress post-traumatique, caractéristique également de cet état entre deux mondes que nous connaissons bien avec la transe hypnotique, au détail près que le sien est rempli par l’inconfort et la peur
La deuxième et la troisième séance s’avéreront déterminantes dans la rémission des symptômes post-traumatiques
permanente. Au moment de notre rencontre, il a repris une activité opérationnelle partielle depuis quelques semaines, après un an et demi d’arrêt. C’est lui qui a insisté pour reprendre le travail, ne supportant plus d’être chez lui « à tourner en rond ».
La prise en charge de Damien nécessitera quatre séances précédées d’une rencontre initiale, consacrée à la détermination de l’origine de la plainte, à l’anamnèse ainsi qu’à la levée des croyances éventuelles liées à l’hypnose mais également aux pouvoirs supposés du « psy », en insistant notamment sur le fait qu’il s’agit d’un travail d’équipe. Les quatre autres séances sont, elles, consacrées au traitement des symptômes psychotraumatiques.
Lors de la première séance d’hypnose, nous nous contentons, avec Damien, de définir et d’établir un lieu sûr (safe place), afin de garantir un socle de sécurité qui servira de point ressource, de base de départ, de retour et/ou de repli. Pour cela, je choisis de lui proposer une induction par un scan corporel, qui présente l’avantage de lui permettre de faire une cartographie précise des zones de confort et d’inconfort. Une fois le lieu sûr établi, je propose à Damien d’effectuer un ancrage de cet emplacement, afin qu’il puisse s’en servir « chaque fois que ce sera nécessaire » dans le but d’apaiser l’angoisse lors des prises de gardes à venir. En sortie de transe, Damien éprouve un sentiment d’apaisement important, qui lui permet de prendre un peu de distance par rapport aux hallucinations visuelles qui continuent de l’assaillir.
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GUILLAUME CHABOUD
Psychologue clinicien, psychothérapeute, expert près la Cour d’appel de Lyon et la Cour pénale internationale, diplômé en criminologie et victimologie clinique, formé à l’hypnose clinique à l’Institut Milton Erickson de Lyon. Psychologue de sapeurs-pompiers, responsable de l’Unité de soutien psychologique du Service départemental métropolitain d’incendie et de secours (SDMIS) et psychologue en activité libérale. Spécialisé dans la prise en charge et le traitement des psychotraumatismes.
Psychologue clinicien, psychothérapeute, expert près la Cour d’appel de Lyon et la Cour pénale internationale, diplômé en criminologie et victimologie clinique, formé à l’hypnose clinique à l’Institut Milton Erickson de Lyon. Psychologue de sapeurs-pompiers, responsable de l’Unité de soutien psychologique du Service départemental métropolitain d’incendie et de secours (SDMIS) et psychologue en activité libérale. Spécialisé dans la prise en charge et le traitement des psychotraumatismes.
Commandez ce numéro Hors-Série n°12 de la Revue Hypnose et Thérapies Brèves: «La Douleur»
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Lorsque la Version papier de ce numéro sera épuisée, la version PDF sera fournie à la place
- Éditorial : De la douleur à la douceur ? M. Arnaud
- Fibromyalgie. A. Vallée
- Douleurs traumatiques. G. Chaboud
- Hypnose et recherche. A. Vanhaudenhuyse et M.-E. Faymonville
- Rééducation et hypnose. V. Monfort
- La présence. M. Galy
- Blessures de tennis. V. Dasle
- La douleur chronique. B. Dubos
- Mon banal de la douleur. A. Bioy
- Communication thérapeutique. E. Boselli
- Éditorial : P. Houssel
- Césarienne naturelle. F. Bernard
- Gant analgésique. X. Paqueron
- L’hypnose périopératoire. F. Roelants et C. Watremez
- Soins dentaires chez l’enfant. C. Martin
- Curiethérapie. E. Rigal
- Hypnose et anesthésie. F. Hamon
- Une conteuse au bloc opératoire. A. Khaled
- Aux Urgences. N. Guler et S. Weber
- Pédiatrie, dans un bloc opératoire. M. Marchal
Pour acheter ce numéro de la Revue Hypnose & Thérapies Brèves à l’unité, ou vous abonner, cliquez ici
- Éditorial : De la douleur à la douceur ? M. Arnaud
- Fibromyalgie. A. Vallée
- Douleurs traumatiques. G. Chaboud
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- Rééducation et hypnose. V. Monfort
- La présence. M. Galy
- Blessures de tennis. V. Dasle
- La douleur chronique. B. Dubos
- Mon banal de la douleur. A. Bioy
- Communication thérapeutique. E. Boselli
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- Curiethérapie. E. Rigal
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